bonjour chris
boff pour le livre, tous ceux qui ont étudié le développement de la condition humaine connaissent cela.
mais deux chose ont échappé à Soral.
la première est que nous ne sérions que des paradigmes du dominant dominé qui a ce jour à eu deux évolutions, la première est la relation de la contrainte imposé par le droit des naissances, la seconde issus de la révolution industrielle la contrainte volontaire imposé par l’organisation économique à partir de 1804.
l’homme est un animal qui évolue lentement, celle qui devrait poindre,est le partenariat,
Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier
prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des
revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.
Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de
tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de
comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.
De fait une collaboration s’impose, et si le
propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du
fait du prince, alors
il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration à
imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son investissement et
atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers.
L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des
guides. Le reconnaître ne la rend pas irréductible.
enfin la gouvernance mondiale n’aura pas lieu, car c’est contraire a l’existence aléatoire en proposant un déterminisme globalisé.
http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=86795
cordialement.