"Il devra, de façon transparente, parler des risques encourus, tout en
expliquant clairement nos besoins en électricité et les apports du
nucléaire.«
Il devra aussi expliquer le fait qu’il est tout à fait possible de diminuer fortement nos consommations d’électrcité - et plus largement d’énergie - ainsi que ne pas rappeler, au niveau du nucléaires, uniquement ses »apports« , mais enfin mettre en lumière totalement ses inconvénient effectif, et pas uniquement ses »risques" - comme vous le dites.
Vous parlez de paranoïa...
Il mer semble qu’on emploie surtout ce mot pour dire qu’on a peur de quelque chose - d’un danger - qui n’existe pas.
Peut-on dire que les évènements actuels au japon n’existe pas ? Peut-on dire que Tchernobyl n’a pas existé ? Et les multiples accidents et incidents nucléaires (car hélas, les 2 que je cite ne sont pas les seuls, loin de là !)
On est plus dans la paranoïa, là... On est plutôt dans un apprentissage, comme le ferait un enfant qui, s’étant brûlé contre un four trop chaud, aura forcément peur d’y remettre la main car il sait désormais que ça brûle.
La question est : saura-t-on, enfin, arrêter de mettre la main au nucléaire ? Je le souhaite.