Monsieur G., soyez plus discret sur la Toile si vous voulez vous protéger des délateurs ; c’est tellement facile de vous identifier (y compris des services de Claude Guéant le jour où celui-ci décidera de vous assigner en diffamation, vous devriez être plus prudent).
Je persiste à écrire que votre prose insipide est complètement à côté de la plaque, comme d’habitude.
1- on ne peut accuser ceux qui prient dehors quand ils n’ont pas de
lieu de prière, c’est de la responsabilité des pouvoirs publics de leur
offrir ou alors il faut interdire toutes les religions.Je vous renvoie au cas le plus emblématique d’occupation de l’espace public (celui des prières publiques de la rue Myrrha) et de l’enquête que lui a consacré France-Soir (
http://www.francesoir.fr/ces-musulmans-qui-prient-dans-rue-62584.html), laquelle montre que la plupart des participants viennent de toute la région parisienne faire leur démonstration de force du vendredi. Laquelle région parisienne ne manque pas de mosquées ni de salles de prière...
2- Si
le nombre de musulmans augmente, bien que jusqu’à preuve du contraire
ce n’est pas génétique, ils sont en grande majorité des Français bien
estampillés. Il faut donc castrer les hommes et stériliser les femmes
pour que leur nombre de de croire, sans doute.
Quel rapport avec la phrase de Guéant : En 1905, il y avait très peu de musulmans en France, aujourd’hui il y en a entre 5 et 6 millions ?
Vous avez atteint le point Godwin.
3- s’il y a des
problème, ce sont Sarkozy et Guéant qui sont au pouvoir depuis bientôt
près de dix ans et que par voie de conséquence ils ont échoué
lamentablement tant pour la sécurité que pour les prières dans les rues.
Ah, ça, c’est emmerdant le verdict des urnes. Hélas, avec des opposants comme vous ou comme Martine Aubry, j’ai bien peur que vous ne les subissiez cinq ans de plus.
4-
ce sont les faibles et ceux qui ont échoué qui trouvent des boucs
émissaires tant de leur échec que pour se rehausser en tentant de
trouver des victimes expiatoires, montrant leur force par la tentative
d’abaissement d’autrui.
Effectivement, cette description vous va comme un gant.