resistance, vous dites : « s’il y avait d’autres coupables, qui vous dit qu’ils ne se trouvent pas du côté de ceux qui n’ont jamais été inquiétés ? »
C’est exactement ce que je pense. Et ceux-là pour ne pes être inquiétés, ont pu faire ce qu’il faut pour que la dame dont je ne sais plus le nom, change d’avis : je vous rappelle que les accusés avaient été condamnés sur les seuls dires de cette dame, et qu’ils ont ensuite été libérés sur les mêmes « preuves ». Pourtant, cette dame est une menteuse avérée !
C’est un peu gros. Et plus c’est gros plus ça passe quand on marche sur la tête, comme disait avec une certaine audace, l’abbé Niel !
Cet exemple d’Outreau est un cas d’école
Ce qu’il s’est passé dans cette affaire d’Outreau n’aurait jamais été possible si les jugements d’assises étaient demeurés non révisable : aujourd’hui, un criminel peut se laisser accuser sans dénoncer ses complices afin qu’ensuite ses complices non dénoncés par lui, aient tout leur temps pour inventer des faits nouveaux en faveur du condamné s’assurant ainsi définitivement de son silence qu’ils achèteront au prix convenu entre eux.
Last but not least, la République leur paiera même une prime de dédomagement pour le « tort » causé.
Qui nous dit que ce n’est pas cette dame parjure qui a elle-même négocié son revirement auprès des accusés incarcérés ? Que je sache, une fois que le jugement a été prononcé, les prévenus ne sont plus au secret et peuvent communiquer, ce qui n’est pas le cas avant ! Permettre la révision d’un procès, c’est peremttre aux accusés de commiuniquer avec leurs complices avnt le nouveau procès, et de se mettre d’accords sur une version fauuse mais commune.
Avec la solennité des cours d’assises d’antan, ces choses là n’étaient pas possibles. Tout fout le camp !
Voilà pourquoi je ne suis désormais pas d’accord avec la « révisibilité » des cours d’assises, et voilà pourquoi je refuserai de participer à ça.