Ils ont donc une probabilité d’occurence d’un accident plus elevée que les reacteurs de constitution plus simple.
Ainsi utiliser les données pour les reacteur REP et les appliquer a l’ensemble des reacteurs n’est pas rigoureux, scientifiquement parlant.
De plus, les reacteurs EPR (c’est un type de reacteur REP) qu’on utilise en France ont un risque 5 fois plus faible que les REP « classiques » : 10 puissance -6, soit une fois tous les millions d’année (soit 5x20,000)
Admettons que les reacteurs de consitution plus simple (simple circuit d’eau et RMBK russes) aient une probabilité plus faible eux aussi. Disons que la probabilité moyenne, tout réacteur confondus soit comme celle d’un EPR d’aujourd’hui : 10 puissance -6, soit 1 occurence par million d’année.
D’autre part j’ai écrit un programme qui calcule la durée de fonctionnement cumulée des 435 reacteurs existatns : 13 246,16 ans a ce jour.
Soit une durée moyenne de 30,45 ans. (en utilisant la meme liste des centrales nucléaires dans le monde que l’article)
Alors les calculs deviennent :
1 possibilité sur 1,000,000 que le reacteur explose par an (0.0001%)
Il y a 435 reacteurs en fonctionnement. Cela fait une probabilité globale de : 435 * 0.0001% = 0.0435%
Sur l’ensemble des reacteurs, ona une blrobabilite de survenance d’un evenement de 0.0435%
Les centrales sont en fonctionnement depuis 30.45 ans en moyenne.
Donc la probabilité globale est de : 30.45*0.0435 = 1.32%
Cette probabilité de 0.00132 indique que la fiabilite d’une des 435
centrales a pu etre compropmise durant ces 30 dernieres années au taux
de 1.32 chances sur 100.
Logiquement on aurait pas du avoir une seule centrale qui defaille.