"A première vue, c’est étonnant mais ni l’un ni l’autre n’êtes au courant
que les « représentants de candidats » stipulés ici et là n’étaient PAS
PRESENTS... sauf ceux de Ouattara, d’ailleurs, qui ont viré les autres,
on se demande pourquoi.
Vous écoutez les gens informés des fois ?"
L’absence des représentants d’un candidat dans un bureau de vote ne suffit pas à elle seule à invalider le scrutin au 2ème tour, sauf à apporter la preuve que, la fraude occasionnée par cette absence est de nature à modifier l’issue du scrutin en faveur du candidat dont les seuls représentants étaient présents au bureau de vote.
Dans le cas de la côte d’Ivoire, le conseil constitutionnel qui s’était saisi d’office des documents électoraux , en violation des dispositions du code électoral qui a prévu un délai à cet effet, lequel n’était pas encore arrivée à l’expiration, ne s’est pas emmerdé de chercher à savoir, si l’importance de fraudes alléguées par le camp GBAGBO, était de nature à modifier substantiellement l’issue du scrutin, au regard des voix obtenues par ADO au 1er tour , dans les régions concernées par ces fraudes alléguées. IL a tout simplement annulé tous les votes dans cette région pour proclamer GBAGBO vainqueur, alors que le code électoral ne lui reconnait que le droit d’annulation de tout le scrutin, et non une partie de votes