ATTENTION DANGER : cet homme libre est un dangereux anti-féministe se cachant derrière ses lunettes noires. Coach, naturopathe, chercheur, enseignant (oh mon dieu !).
Il confond féminisme (sa haine) et prostitution. Je ne veux pas être trop méchante et ne parlerais pas des difficultés qu’il semble avoir rencontrées.
Voici ce qu’il écrit en réaction aux commentaires sur Médiapart sous le même article :
"Et pourquoi diable un billet d’homme vous fait-il bondir ? A cause de cette
outrecuidance de se libérer des baillons et des masques que vous voulez leur
imposer ? Quelle est cette discrimination, cette volonté cachée de prendre le
pouvoir sur l’autre, qui prend le masque de votre indignation ?
Et bien bondissez, bondissez, levez vos fesses du confort victimaire et
des
autoroutes de l’idéologie féministe, quittez l’arrogance de la juge.
Bondissez, écouter les hommes plutôt
que de parler pour eux. Bondissez,
découvrez les hommes, ces hommes qui
transgressent le silence où vous voulez
les réduire, il n’est pas trop
tard... Ouvrez vos yeux, sortez de votre
pensée, dépassez les apparences, les hommes ne sont pas là où vous les avez
mis...
Bondissez gazelle, bondissez antiloppe, si le confort intellectuel ne vous a
pas encore collé les fesses au sol. Dansez enfin avec les hommes !
Ah, le bon vieux cliché : hommes (clients) = esclavagistes...
Et les rires entendus quand on ose aborder (à peine) les problématiques
masculines. L’auto légitimation féministe arrogante.
La revendication du monopole de la souffrance, de la victimisation.
Tourner en ridicule la parole de l’homme, le traiter avec mépris de macho, le
culpabiliser comme d’hab : quel programme !
Ritournelle mille fois entendue mais trop entendue : avec moi elle ne prend
plus (et avec de plus en plus d’autres, masculins et féminins, non plus). J’ai
plus d’estime pour les femmes que pour afficher cette condescendance de les voir
victimes et de me coucher d’une culpabilité d’homme que je réfute.
Vous croyez quoi ? Qu’on peut indéfiniment traiter les hommes n’importe
comment ? Qu’on peut les traiter de salauds universels avec le sourire et qu’ils
vont dire merci ? Qu’on peut s’auto légitimer sans entrer dans un dialogue ? Que
l’on peut aligner des clichés sans qu’un jour on vous demande des comptes de
salir autant les hommes ? Qu’ils ne vivent pas des misères sexuelles ? Qu’ils ne
se sont pas aussi battus pour leurs compagnes depuis des siècles et des
millénaires ?
Cela vous arrange-t-il tellement de voir les hommes comme des monolites,
forts, esclavagistes, oui cela vous arrange.
Mais ne soyez pas trop arrogantes dans votre posture de victimes : comme
beaucoup d’hommes j’ai vu des modèles féminins qui, depuis aussi loin que je
peux remonter dans ma famille, sont forts, assurent, tiennent leur place."