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Commentaire de eric

sur Cuba. Faillite ou succès ?


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eric 20 avril 2011 07:39

Ne connaissant pas Cuba, j’essaye de ne pas avoir d’idées trop arrêtées. D’où une question. Y a-t-il beaucoup d’immigrants a Cuba ? L’auteur n’a pas tort de rappeler que tout système peu évoluer. Si les systèmes communistes sont extrêmement conservateurs et immobilistes en général, ils changent malgré tout. Si on se cantonne aux simples dictatures, après tout, ce sont des Franco and co qui ont organise le retour a la démocratie e Espagne, au Chili etc... On ne peut pas non plus exclure a priori, que les mêmes idées portées par des gens similaires, puissent néanmoins donner des résultats différents en fonction de contextes distincts. Cependant, vu de Moscou et avec 30 ans d’expérience du socialisme réel, plus les commentaires des russes ayant vécu a Cuba ou des Cubains vivant a Moscou auourd’hui, l’impression générale qui se dégage est quand même que c’est bien une de ces dictature totalitaire en tout point comparable a celle qui ont prévalue dans l’Europe soviétique. C’est a dire des pays ou notamment, les gens votent avec leurs pieds. Ainsi, depuis que ces pays sont devenus u peu plus libre, ils connaissent une immigration. Il y a de plus en plus de gens venus du « tiers monde » qui viennent en Russie pour y trouver un emploi. Les État Unis sont le pays du monde qui accueille le plus de migrants. Quand des gens ont le choix et la possibilité de le faire, ils vont en Amérique. Désormais un peu en Russie. On ne voit pas qu’il y ait de nombreux pauvres qui feraient le choix de tenter a tout prix d’entrer a Cuba pour y chercher une vie meilleure.

Cela signifie que soit : la vie n’y est pas considérée comme meilleure chez les pauvres des environs ( Haiti, par exemple) soit le système est encore assez répressif pour parvenir a éviter radicalement l’entrée d’étranger, ce que nul pays démocratique ne parvient réellement a faire, y compris la Russie, dont le degré de démocratie est assez relatif.

Autant sur tous les reste ( y compris le fait que des étrangers de passage sont moins mal soignes, ce dont je viens a nouveau de faire l’expérience a Moscou), on peut longuement discuter avec des visions subjectives. Autant sur ce point il y a un assez bon critère pour comprendre la nature d’un régime.


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