Vous commencez tous à nous casser les oreilles avec la Nolwen nationale (qui n’a de bretonne que la naissance dont soudain elle se souvient pour bien faire parler d’elle, miss france a dû l’inspirer) , y a vraiment pas de quoi fouetter une belette, tout ça pour un article où chacun y voit ce qu’il a envie.
Que de battage médiatique sur une daube gentillette, des classiques lamentablement repris qui ne donnent de la Bretagne qu’une image de Bécassine radoteuse qui voudrait jouer dans la cour des grands. Par pitié écouter et comparer le Brest de la miss et celui de Miossec... c’est à pleurer, mon dieu comme cette fille est vide....
Et pour info Servat ne l’a pas du tout « adoubée » mais a au contraire dit dès le début que ce disque n’apportait rien (je l’ai entendu) ce qui est évident, et Stivell pas plus, il n’a juste pas trop osé dire qu’il n’en n’avait rien à battre.
et à vous lire, M.perrotin, je trouve que vous auriez besoin vous-même de plonger dans la vraie culture bretonne, dont vous êtes imprégnés de clichés et de regards superficiels ringards.
Quant à juger la Nolwen « dangereuse »... voyons voyons ne soyons pas ridicules... ou alors dangereuse oui car sa niaiserie fait plus de tort que de bien, et car elle cache la forêt d’une formidable créativité musicale bretonne avec un arbrisseau pitoyable de manque d’imagination et de personnalité...