Il y a un malaise, qui est mondial : c’est une lapalissade.
Débattre sur le pourquoi du comment est déjà dépassé parce que forcément vous risquerez de n’avoir comme effet visible qu’une foire d’empoigne.Il suffit d’ailleurs de lancer « les mots qui fâchent (PS, UMPS, FN, et tous les sigles que vous voudrez...), et que nous connaissons tous car leur rôle est, justement d’aboutir à ce qu’il n’y ai jamais-j’insiste sur ce mot »jamais« , de consensus...sauf à nous sortir le mot »magique« NOM (nouvel ordre mondial).
Il suffit d’ailleurs de s’amuser à faire des montages (que beaucoup ont fait sur youtube, d’où la censure....ou dailymotion, rebelote...) pour voir combien de fois ce mot »magique« effleure les lèvres des »dirigeants nationaux et internationaux.
Ce n’est naturellement pas un hasard si les visages de « Maïtre Attali » , « Maître Strauss-Kahn » apparaissent de front ou en filigrane sur les écrans médiatiques... parmi les plus ardents défenseurs de cette dictature planétaire.
Vous remarquerez, d’ailleurs, que tous les technologies les plus pointues et les plus extrêmes qui fleurissent (nanotechnolgies, biotechnologies etc....) sont intrinsèquement liées à cette conception fascisante et cette obsession maladive de contrôle.
Des scientifiques ce sont déjà penché sur la maladie qui touche cette sorte de cerveaux : la psychopathie.
Ce n’est pas une vue de l’esprit , c’est la réalité.
Les Français, qui ne sont pas (plus) dupes ont compris que le problème n’est plus national mais mondial puisque, justement, le contrôle n’est qu’à sens unique.Il vaut pour nous mais sûrement pas pour eux.
La meilleure preuve en est que ces personnes se cooptent lors de réunions sinon secrètes au moins « privées ».
Bref, les Français , comme vous le démontrez tout à fait justement, sont acculés à voter alors que la problématique est la suivante:il n’y a absolument aucune possibilité de s’exprimer pour le citoyen.
Je passe les conceptions éculés de « peuple » et « élite » parce que, si les « élites » se contrefichent de « l’autre » que l’on officialise sous des patronymes (sigles, partis divers et variées) en fonction de là d’où vient le vent pour se réserver les places au soleil la réelle problématique est la suivante :
Le refus de reconnaître pour l’autre ce que l’on revendique pour soi-même et que le meilleur de ce que l’on garde pour soi-même ne peut être obtenu que par la perversion suprême : le contrôle absolu de l’autre.
Il s’agit ni plus ni moins qu’un problème chronique d’ égoïsme.
Comme « le peuple » commence à comprendre vers quelles rives mène le voyage, ceux qui s’abstiennent matérialisent tout simplement qu’ils veulent une alternative.
Qui n’existe pas tant que l’on reste sur un modèle « d’élections ».
Elire, c’est abdiquer son libre-arbitre et déléguer selon le « bon vouloir » d’autres.
Dont on a fini par comprendre que ce n’est pas un « bon » vouloir sauf pour ceux qui sont du « bon » côté de la barrière.
La barrière.
Voilà le fin mot de l’histoire.
Les abstentionnistes représentent l’alternative à cette barrière que certains veulent infranchissable.
Il ne s’agit même pas de vouloir renverser cette barrière ou de la franchir car ces êtres qui ne rêvent que de barrières, de frontières et de contrôles sont dans un monde où personnellement je ne voudrais sûrement pas aller.J’ai évoqué la psychopathie et je vous laisse deviner quelle serait la place réelle des psychopathes.
Voilà le réel problème.
La solution est de considérer que les abstentionnistes doivent se regrouper pour former la réelle alternative et devenir une forme d’opposition efficace dans le sens où ils feront entendre leur droit de VETO.
La réelle opportunité AVANT de 2012 est de regrouper tous les abstentionnistes sur un site qui pourrait fonctionner comme facebook, appelé ABSTENTION 2012.
Il aurait pour rôle de canaliser ceux qui ne veulent pas participer à la parodie démocratique appelée « élections » pour revendiquer un changement de constitution qui aboutirait au referendum comme seul mode d’expression de la volonté populaire.Cela n’est pas de l’utopie.C’est réel et cela se pratique pas loin de chez nous.
En Suisse.