hommelibre : je commence un peu à vous connaître maintenant par la récurrence de votre obsession. Vous haïssez les femmes mais que les féministes radicales. Vous aimez les femmes « normales » et les « prostituées magnifiques ».
Vous dites : « pour la société et les tribunaux, l’homme est forcément le criminel et la femme la victime. Donc les hommes sont jugés selon un biais initial », et vous évoquez votre vécu personnel en disant que vous avez été acquitté en moins de 30 mn. Votre ex-compagne a perdu le procès, donc le groupe féministe et l’oncle de l’accusatrice ont également perdu. Le dossier était vide.
Donc, je m’interroge : vous avez gagné votre procès contre cette bande de personnes malveillantes. N’est-il pas temps pour vous de tourner la page ? Vous n’êtes plus poursuivi par la meute. Au lieu de reconstruire votre vie professionnelle et personnelle (et nous sommes nombreux à devoir le faire au cours d’une vie), vous vous complaisez, semble-t-il dans le ressassement de votre malheur, de votre victimisation.
Sisyphe n’était pas un homme libre. Camus disait « il faut imaginer Sisyphe heureux » et c’est pourquoi la vie valait la peine d’être vécue.
Freud (1932) écrivait : « Il y a des gens qui répètent toujours, à leurs dépens, les mêmes réactions sans les corriger ou qui semblent eux-mêmes poursuivis par un destin inexorable alors qu’un examen plus précis nous enseigne qu’eux-mêmes sans le savoir, se préparent ce destin. etc »
Il existe de nombreuses associations d’aide aux hommes (qui ont été victimes dans leur vie ou leur enfance) également subventionnées par des fonds publics.