Krolik, c’est vous qui avez raison. Victime de nos racines chrétienne, nous avons tendance a chercher un principe positif comme fondement d’une religion, en oubliant que dans tous les paganismes, le divin est dangereux et souvent méchant. Chez les alter ecolo bio, le principe divin, celui qui donne un sens au monde, qui explique tout, est une force négative, comme dans tous les paganismes. Omniprésente, toute puissante, sans cesse renaissant de ces cendres comme un moderne phœnix, sa fin est sans cesse annoncée comme imminente (depuis deux siècles quand même !). Son nom change, mais pas sa nature. Capitalisme, hyperliberalisme ultra mondialise, elle est a la fois partout et nulle part. Toutes les caracteristiques d’une divinité maléfique.
A elle seule, elle explique l’échec perpétuel des forces du bien, qui elles aussi changent de nom mais pas de nature, a s’incarner avec succès dans le réel.
Partout, les adeptes voient des signes d’une fin du monde prophétisée.
Dans la typologie des religions, cela rappelle les Aztèques, les Cathares et les Chiites, tous convainque que le mal est triomphant. Souhaitons avoir affaire a la variante Cathare. Décroissance durable, cathédrale naturelles, refus de la procréation comme solution finale au fait que l’homme est intrinsèquement porteur du mal. Adeptes aui a la fin se jettent d’uex même dans les flammes en sacrifice expiatoire. Plutôt qu’a la variante Chiite : longues périodes de stagnation avec crise de folie caractérisées par des guérilleros suicides, Ou encore Aztèque : on massacre tous ce qui tombe sous la main en espérant que cela donnera quelque chose. Cette dernier variante semble fort heureusement peu probable. Les châteaux de sable de Cabanel sont quand même une forme extrêmement édulcorée et bénigne des Pyramides de Technoticlan ;