Commentaire de olivier cabanel
sur Les vessies pour des lanternes
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capitaine, mon capitaine.
je vois que vous êtes monté sur la table.
et tel le prof du cercle des poètes que l’on croyait disparus, vous êtes sur le pont, à la barre à dire : « carpe diem »
Mulligan n’aurait pas pris plus de gants pour vous le dire,
Monk, s’en amuserait comme un singe, avec Charlie, son mingus.
Aile ing ton, se serait payé une aile supplémentaire,
Keith en aurais mis un coup de jarret,
Peterson aurait eu, à coup sur, l’oscar,
et Sanders, notre pharaon vous aurait applaudi.
Derniers commentaires
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10/05 16:48 - olivier cabanel
cher porte parole, vous oubliez un détail, et il est de taille. depuis que le frère du frère (...)
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10/05 16:45 - olivier cabanel
alchimie, c’est possible, mais là, désolé, on a touché le fond. :-))
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10/05 15:12 - Porte-parole Malakoff Médéric
Bonjour, En réponse à votre post du 5 mai et en tant que porte-parole du groupe Malakoff (...)
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09/05 00:29 - le poulpe entartré
Bonjour Olivier, Finira-t-il comme Mussolini ? Lorsque les Français ouvriront les yeux. Autant (...)
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09/05 00:03 - le poulpe entartré
Il est crever de rire kronembourg, lourdingue comme un adjudant défoncé après deux pack de 24. (...)
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08/05 23:48 - olivier cabanel
Merci Pastori, oui effectivement, il y a préméditation. :-))
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