Il fallait effectivement bien que mourût un jour, officiellement, un Ben Laden sans l’ombre d’un doute passé « réellement » de vie à trépas depuis bientôt 10 ans, et conservé à dessein en « chambre froide médiatique » depuis, via grossiers enregistrements sonores interposés, afin d’en faire le chef de file d’un terrorisme justifiant les guerres les plus injustes, les plus immorales et les plus illégales de la première décennie du XXIe siècle, menées au nom d’une liberté de façade et d’une démocratie dévoyée
« Complotistes » constitue effectivement le mot censé réduire à néant les arguments de celles et ceux qui ont tout bonnement la présence d’esprit de ne pas sacrifier leur sens du discernement sur l’autel de la version prédigérée relayée jusqu’à l’indécence par ceux qu’il faut bien encore appeler les « grands medias », complices au delà du supportable d’une oligarchie politique et financière fangeuse.
La macabre et pathétique mise en scène participe d’une logique parfaitement étudiée : Mort virtuelle du chef d’une organisation virtuelle > Représailles virtuelles de cette même organisation virtuelle > Vrais attentats fomentés par la CIA > Justification de mesures anti-terroristes drastiques > Nouvelle étape vers la gouvernance mondiale
La mécanique est fort bien rodée : maintenir les populations du monde occidental dans un état constant de peur, afin de mieux leur faire accepter, lorsque cela est jugé nécessaire, une pléthore de lois liberticides et le désormais célèbre droit d’ingérence décliné de façon indécente... Redoutable.