@Hindle : Vous m’intriguez et vos propos m’intéressent lorsque vous mettez une sourdine à certaines revendications par trop féministes « ultras ». J’ai déjà revendiqué être féministe (la femme ne devant pas être victime de discriminations professionnelles,entre autres, de part son sexe). J’aurai l’honnêté d’ajouter que celles-ci existent bel et bien malheureusement. L’incidence des maternités et des congés y faisant suite y sont peut-être pour quelque chose. Mais ça, c’est la politique des patrons et non des « hommes de la rue » ! Je vous sens sincère et prête au dialogue, ce dont je vous suis infiniment reconnaissant. Mais je vous demande de reconnaître qu’il existe presque autant d’hommes battus que de femmes, celles-ci ayant pour« atout » que la force physique de l’homme rend cette hypothèse risible même auprès des représentants de l’ordre public.
« Paconform, Guillot et bien d’autres (avec mon ami Eric) semblent avoir payé un lourd tribut
à ces préjugés ! Que je vous dise:la femme de mon ami vient de faire une tentative de suicide (une ènième) par médicaments. Elle est diagnostiquée »maniaco-dépréssive« + borderline. Eric a compris vers 11 heures le matin, que son endormissement n’était pas normal : elle »ronflait« donc respirait mais ne réagissait pas. Après avoir formé le »15« , le samu est arrivé : direction les urgences : »état semi comateux« . Dirigée vers la réanimation avec »pronostic vital engagé« ! Lors de son sommeil, ayant ingurgité tous ses médicaments la traitant pour »maniaco-dépressive« , elle a , dans son état semi-comateux, eu un reflux de suc gastrique provenant de l’estomac (préparé par nature à subir ce rôle acide), qui est remonté et s’est déversé dans les poumons et les alvéoles pulmonaires provoquant lésions et inflammations. Qui plus est, elle refuse de recevoir Eric dans sa chambre,lui, brisé, anéanti par ces attitudes suicidaires ! Il se retrouve donc seul, chez lui (chez eux ?) n’ayant plus de nouvelles des services hospitaliers ni des enfants de son amie. Dans son délire »manioco-dépressif« , elle l’aurait, selon ses dires, accusé de »manipuler« sa »faiblesse« (? ??) en envoyant diverses lettres à certains membres de sa famille. Circonstance troublante : son frère âgé d’un an de plus, a été retrouvé mort chez lui,après avoir appris son admission en »réa« . Considéré comme extrêmement »fragile« (comme beaucoup de membres de la famille), il avait coutume de boire son litre de »Ricard"chaque jour. Conclusion : ne vous mettez-pasà la merci, Messieurs, (ni vous, Mesdames), d’une personne extrêmement séduisante si elle ne possède pas les conditions minimums requises pour posséder les valeurs indIspensables à l’honnêteté des relations humaines. Sous peine de risquer de voir votre vie brisée définitivement.