Cher monsieur Bulgroz,
Je ne me considère pas comme étant « affidé » à qui que ce soit. Je constate toutefois que le nombre d’informations concernant ce drame est en baisse. Je pense que, soit il y a une réelle volonté politique derrière ce fait, soit les grand médias ont besoin de se renouveler constamment pour des raison d’audimat.
Pour mon compte, j’ai de plus en plus de difficulté à me faire un avis précis sur ce drame car, entre les hoax et les batailles d’experts sur les chiffres, il devient difficile d’y voire claire.
Les avis c’est comme le trou du cul, tout le monde en a un ! Mais je pense qu’il ne faut pas oublier que la situation n’est pas résolue au Japon et ne le sera pas tant qu’il y aura du combustible nucléaire potentiellement dangereux en activité dans un site visiblement en mauvais état.
Dans ce contexte, je remercie toutes les personnes qui continuent à débattre de ce problème, qu’elles soient pronucléaire ou antinucléaire.Il y a toutefois un argument que je retrouve souvent chez des personnes antinucléaires qui me fait toujours frémir : La comparaison entre les morts du tremblement de terre et du tsunami au Japon et les morts de l’accident nucléaire. Il semble que les dommages des radiations ne sont visibles que plusieurs années auprès une catastrophe.
Si les radiations sont si bonnes pour la santé, comme j’ai pu le lire sur certains forums, pourquoi l’industrie du nucléaire investit des sommes considérables pour le confinement des réacteurs et des déchets ?