Cette loi est foncièrement mauvaise car elle cherche des problèmes là où il n’y en a pas et montre qu’une fois de plus les politiques, tous sexes confondus, cherchent à réglementer la vie privée des gens dans le moindre détail. C’est tout bonnement inadminissible dans un pays soit-disant libre.
Il n’y a pas de discrimination contre les femmes en France, tout juste une reconnaissance particulière des différences qui peuvent exister entre les hommes et les femmes. La femme était le genre chéri par les Chevaliers du Moyen âge et a bénéficié d’autant d’égards que les hommes. Même sous l’Ancien régime elles ont accédé aux plus hautes charges de l’Etat. Aujourd’hui on en trouve à la tête des grosses entreprises du Cac40 comme à des postes de ministres.
La seule chose que vise cette loi est l’égalitarisme numérique, autrement dit, les fameux quotas. Le droit de la femme n’est qu’un alibi qui permettra de mettre le doigt dans l’engrenage. On doit avoir un quota de femme. Une fois acquis on nous obligera a avoir comme ministres un quota de marocains, puis un quota d’immigrés clandestins comme médecins des hôpitaux, puis un quota de gens de couleurs qui sorte diplômé de l’Ecole Polytechnique. La pente est glissante. Arrêtons tout de suite. A terme, il faut que les français s’interdisent eux-même de diriger leur pays.