A l’auteur,
Il est exact que je milite pour l’apprentissage précoce de l’Anglais, ayant moi même du l’apprendre à l’age adulte donc avec difficulté, pour m’insérer dans les institutions et entreprises (anglophiles) que vous citez et où l’on ne peut prosperer ni même demeurer sans être bilingue Anglais, au moins.
Mon propos est purement fonctionnel, bien au delà de toute appréciation sur les mérites de telle ou telle langue.
L’Anglais ne m’interesse pas à titre qualitatif ou sémantique, mais bien à titre purement professionnel.
Or, l’objectif de l’école, souvent perdu de vue, est de permettre à nos chères « petites têtes blondes » de s’insérer plus tard brillament dans le monde du travail.
C’est purement dans cette optique que j’ai réagi et maintiens mes propos en tous points.
Maintenant, que l’Anglais soit ou non irréversible, c’est juste une question d’anticipation fondée sur l’observation du monde international du travail.
Nos futurs plombiers provinciaux n’auront peut être pas besoin de l’Anglais pour gagner leur vie...Ceux qui gravitent dans le domaine du service, de la finance, de l’industrie, du commerce, eux ont auront besoin.
J’ajouterai à celà qu’il y a en France un déficit grave, croissant, généralisé (et largement médiatisé) de la maîtrise de la langue Française. Sauf au niveau des élites et de leurs familles.
Alors, Anglais ou autres langues étrangères, peut être mais évitons d’abord de perdre la notre.
Merci en tout cas de m’avoir répondu et apporté intelligemment la contradiction.