Sauf que tout cela n’a rien à voir avec les questions que j’ai posées et les données que j’ai mis en exergue.
ah ouais ??? il est guidé comment le missile ? par la chaleur ? NON. Le Suffren était à 10 km de la côte pour ses essais...
bref, vous repasserez pour tenter de protéger vos petits camarades....
« alors les minutes des échanges entre le poste de pilotage et le contrôle ne mentionnent pas de problème moteur. »
viennent de où les infos à votre avis ?
feu à bord ça signifie quoi ? Qu’ils faisaient des grillades à l’arrière ?
Enfin, j’insiste de nouveau sur le fait que sur les deux hypothèses (tir depuis la terre ou tir depuis un bateau) il y en a nécessairement une de fausse et donc au plan logique et intellectuel vous ne pouvez pas me reprocher d’essayer d’en réfuter une.
y’en a deux de vraies.
Peut-il s’agit d’un autre missile (à guidage infra-rouge comme suggéré dans le reportage), c’est très douteux car à ma connaissance il n’existait pas à l’époque de missile d’interception d’un telle portée dans l’armée française.
ah ouais ? et le Matra R511 c’est du carton ?
Le R530 est basé sur l’expérience acquise par Matra (aujourd’hui MBDA) avec le développement du missile à guidage infrarouge R510 et du missile à guidage radar semi-actif R511. Ceux-ci étant utilisés par les Vautour et les Mirage III C de l’armée de l’air française, et l’Aquilon de l’aviation navale.
et le Nord 5103 ? du zinc
Le premier « SMB-2 » est livré au CEAM le 26 février 1957, pour préparer la conversion des pilotes sur le nouveau pur-sang de l’Armée de l’Air. Capable d’emporter aussi bien des missiles air-air américains AIM-9 Sidewinder que des SNCAN Nord 5103 à guidage sur faisceau radar, ou des Matra R.511 à autoguidage radar semi-actif, il entre en service en février 1958 à la 10ème Escadre, et il est aussi opéré par les 5ème et 12ème Escadre. Ils participent à la fin du conflit algérien, puis sont affectés à la DAT (Défense Aérienne du Territoire) où ils resteront jusqu’à la fin de leur carrière