Salut,
La grande interrogation concerne in fine NOTRE justice et, le sens que lui donne nos politiques.
Il est clair, limpide, évident que celle-ci est à deux vitesses ! Forte avec les faibles et faible aves les forts.
Et si d’aventure quelques politiques sont inquiétés, on connait d’avance l’issue finale le sacro-saint « non-lieu ».
Hormis des lampistes, il est sidérant de voir combien le glaive de la justice n’a pas tranché dans le vif. A droite comme à gauche dans 90 % des cas, ils auront été épargné. Etouffer est une règle de base, en ayant aux ordres les juges.
Mais que dire de nos politiques et journalistes qui savaient cela. Comment, dans une émission ou cette Tristane Banon partage le souper avec Ardisson et consorts, l’on peut passer sous silence et mlettre un bip sur un nom dont on sait qu’il a sali (et bien plus) la condition de la femme... de toutes les femmes.
Comme sa propre épouse a pu toléré cela ? Et que l’on ne vienne pas me dire qu’elle n’était pas au jus. L’argent, le pouvoir et la gloire permettent de détourner les yeux de certaines vérités... mais tout de même, il existe aussi des limites à l’acceptable. Sainclair voulait-elle tant que cela être première dame de France ?
Que les gens aient droit au respect de leur vie privée tombe sous le sens. Et, avoir une presse de caniveau digne des tabloids de Rupert Murdoch n’est pas la voie à suivre.
Mais entre une presse taiseuse au possible et, une autre de bordille il y a tout un spectre à parcourir et, l’on peut trouver un juste milieu il me semble.
Tout cela est affaire de courage en somme et, ceux qui en manque le plus sont connus !