@ Rough.
Encore une fois, et même si je serais plutôt favorable au système fiscal américain, ce ne sont pas les expatriés dans leur ensemble qui sont visés dans mon article mais les joueurs de tennis qui bénéficient de conditions particulières, à la limite de l’arrangement frauduleux du fait de leur organisation de vie.
Qu’il y ait un meilleur contrôle de l’usage des fonds publics et une plus grande sévérité face au développement anormal de certaines collectivités, entièrement d’accord avec vous, d’où l’intérêt de promouvoir des jurys citoyens chargés, chaque année, d’entendre les élus rendre compte, point par point, de leur activité et de la tenu ou non des promesses de campagne, le PV d’audition étant publié dans la presse locale.
Entièrement d’accord également avec la gabegie que représentent certaines subventions, mais on est là dans le subjectif et parfois dans l’approche épidermique. Ainsi lorsque vous mentionnez les clubs de football professionnels, savoir que ces clubs perçoivent des aides publiques me hérisse le poil, mais il est un fait indiscutable : cela fait parler des villes et, en terme de notoriété, coûte finalement moins cher que des cmapgnes de marketing.
Bref, rien n’est simple !
Bonne journée.