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Commentaire de Assurancetourix

sur Le FMI de DSK était prêt au remplacement du dollar comme monnaie de réserve internationale !


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Assurancetourix Assurancetourix 24 mai 2011 20:28
Qui est Michel Drac ? (l’éditeur français du livre de Mullins)

Avant-propos du traducteur (du livre de Mullins) :

Dans les Secrets de la Réserve Fédérale, Eustace Mullins nous offre une lecture passionnante de cette page d’Histoire qui s’est écrite entre le crépuscule du 19ème siècle et la veille de la Seconde Guerre Mondiale. Il nous apporte un éclairage saisissant sur les puissants qui se cachent derrière le « Novus Ordo Saeculorum », le nouvel ordre du monde, et comment ils ont construit la Mondialisation, telle que nous la connaissons aujourd’hui.

Bousculant les thèses propagandistes du « politiquement correct », l’auteur plonge au cœur de cette vaste entreprise politico-économico-médiatique et nous livre les secrets qu’il a découverts au cours de plus de trente années de recherches. D’abord, l’expédition secrète de Jekyll Island où a été forgé le projet d’une banque centrale américaine, qui deviendra ce qu’on appelle aujourd’hui familièrement « la Fed ». Ensuite, une étude minutieuse des personnages centraux de la conspiration de la réserve fédérale, avec son lot de trahisons, de complots, d’alliances, de mariages et de fortunes colossales accumulées. Enfin, les liens secrets qui unissaient entre eux les grands banquiers de l’époque, qui contrôlaient non seulement les richesses de la planète mais aussi la décision politique. On apprend comment s’élisent les présidents des États-Unis et comment la stratégie financière de haute-voltige permet de manipuler les peuples. Il est impossible de sortir intact d’une telle œuvre majeure, tant ce que nous croyions savoir de l’histoire contemporaine y est magistralement remis en cause. Ce livre offre une telle révision de l’histoire contemporaine, que celui qui cherche à appréhender le monde avec discernement y trouvera non seulement de quoi nourrir sa curiosité et combler un grand nombre de lacunes, mais il en sortira bouleversé.

Les quatre premiers chapitres exposent avec minutie la façon dont les banquiers et leurs complices au Congrès des États-Unis mirent en œuvre la conspiration qui conduisit à la création de la Réserve Fédérale des États-Unis. Cette partie de l’ouvrage pourra sembler aride à beaucoup de lecteur, mais elle est essentielle pour comprendre l’état d’esprit qui animait ces personnages, parfois hauts en couleur, qui ont cherché à capter toutes les richesses du monde. Mais cette conspiration n’aurait jamais pu voir le jour si une autre conspiration plus vaste, à l’origine de la finance moderne qui plonge aujourd’hui le monde dans un marasme économique et financier comparable en dimension à la crise des années trente, n’avait existé.

Les chapitres cinq, six et sept démêlent l’écheveau de cette gigantesque cabale et nous conduisent dans les grandes capitales européennes de la finance, d’abord à Londres et à Paris, puis à Berlin, depuis les guerres napoléoniennes jusqu’à l’accession au pouvoir d’Adolf Hitler en Allemagne.

Le reste de l’ouvrage est consacré au décryptage des événements qui ont marqué la première moitié du 20ème siècle, jusqu’à la Deuxième Guerre Mondiale, et le rôle qu’y ont joué les grands financiers internationaux : la Première Guerre Mondiale, la grande crise agricole de 1920 aux États-Unis et la Grande Dépression de 1929.

Eustace Mullins, décédé à l’âge de 87 ans le 2 février 2010, tenait à ce que la version française de « The Secrets of the Federal Reserve », reprenne dans l’intégralité la dernière version de son ouvrage qu’il a terminée en 1991.

Jean-François Goulon 
Août 2010

PS : pour ceux qui se contentent de (sembler) refuser toute allusion à quelque complot que ce soit, comme s’il n’existait plus aucun complot sur terre (il faut vraiment prendre les gens pour des imbéciles — ou être soi-même bien malhonnête — pour soutenir une telle ânerie, d’abord, et pour s’en contenter comme contre-« argument », ensuite), pour ces lumières de sagacité, donc, qui dénoncent courageusement, avec un air entendu, les paranoïaques « théoriciens du complot », je signale un bon dessin de Jean-Pierre Petit, que je trouve, lui, pertinent.  smiley


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