Bonjour,
Devenir milliardaire plusieurs fois en vendant des choses peu coûteuses à des gens pauvres est sans doute la pire ironie du capitalisme. Faut-il en avoir volé (extorqué pour être exacte) de la valeur à la pelle et à tous les étages du processus (coup de production, distribution, prix de vente, salaires etc.) pour en arriver là.
Beau paradoxe aussi d’être à la fois l’exploité et l’exploiteur quand on est employé et actionnaire, qui plus est de sa propre entreprise.
Le capitalisme est un puissant miroir aux alouettes qui réussit à séduire et faussement humaniser en nous plongeant dans un système ou démocratie se confond – et, est confondu avec, société de consommation. L’un n’a, en fait, rien à voir ontologiquement parlant avec l’autre, et cette confusion nous condamne à l’illusion du choix.
A quand une grève intelligente à portée globale dans l’esprit des journées sans achat de Ad-buster ?
Belle recherche pour l’article. Merci.