une problématique (et là j’ai envie de dire - comme l’histoires des caricatures de Mahomet - qui nous sortent par le nez et les oreilles tant on fait d’histoires autour, transformant méchamment notre perception du prophète) une problématique, donc, est comme un chewing gum. A la base il a une apparence parcequ’il y a une fait : le chewing gum, néanmoins faut-il y goûter pour en tirer la saveur et puis ce que l’on peut en faire... une grosse bulle qui le fait percevoir comme beaucoup plus gros qu’il n’est en réalité, si vous rpésentez le chewing gum sous cette forme il apparait énorme, flasque et monstrueux et si par malheur cette bulle éclate le chewing gum devient une espèce de filet qui vous recouvre le visage et votre interlocuteur aura beaucoup de mal à vous croire si vous lui expliquez que ce n’est qu’une petite boule rose compressée, de plus,vous affublant d’un nouveau masque collant qui ne va gêner que vous-même, votre interlocuteur se dira « il est fou, je vois bien que c’est un masque ». Ou alors vous le collez sous la table (du style « ça ne me regarde pas ») et vous encourez le risque qu’un autre tombe dessus par mégarde et s’y colle... ou encore(comme c’est le cas de choses indigestes comme des problématiques racistes...) l’avaler et prendre le risque de souffrir d’un grave problème digestif.
Il y a donc des problématiques et ce qu’on en fait... malheureusement il peut y avoir des mondes entre les deux.
Bien sûr, plus on remâche moins il y a de saveur et finalement on se dit « mais ce chewing gum il n’a aucun goût... je m’étais trompé ! » bref c’est comme pour les citrons, ce n’est pas qu’en soi ils perdent leur goût (on peut toujours aller en chercher un autre) mais chaque citron contient un nombre limité de jus, une fois pressé jusqu’à la dernière goutte celà ne sert à rien de compresser la peau pour voir si on peut encore en extraire du jus, il faut un nouveau citron sinon on aura une perception erronée du citron (ouaaark ! dit le gamin, c’est dégueu le citron !)(le père répond : - Ce n’est pas du citron mon fils, c’est du jus de pépins !) etc.
Ce genre de paralelles existent à l’infini (passionant) mais nous envoie à une de mes phrases préférées du Christ
« Ce n’est pas ce qui entre dans votre bouche qui vous pollue, mais ce qui en sort ! » certainement à prendre en considération dans le verbiage infini auquel nous sommes habitués dans le brouhahaha de Babylone.
bien à vous