@Fergus
Merci pour votre intervention
Loin de moi de défendre uniquement ceux qui vont dans mon sens. Mais je supporte de moins en moins cette présence à outrance, partout, chacun à au moin deux interventions par jours sinon plus. Leurs propos sont parfois sensés, c’est la moindre des choses venant de personnes de leur rang, mais dans l’ensemble, c’est de l’enfumage et de la propagande. Le mot n’est pas fort à mon avis, les méthodes de la propagande sont les mêmes, excepté qu’elles sont utilisées non par un organisme, une structure d’Etat, mais d’une manière officieuse associant les outils de la manipulation mental et de la séduction. Il n’y a jamais de contrainte visible, et c’est ce qui les rend plus dangereux. On adhère à leurs thèses sans saisir le fond du problème, séduits par le verbe et la facilité du discours.
Ils ne se rendent même pas compte de l’outrance de leurs propos, de leur agressivité. J’ai pris l’habitude d’écouter France Musique, tôt le matin, de lire les Echos, (certains chroniqueurs sur l’économie officient dans les deux médias) mais je me suis rendue malade. C’est comme s’empoisonner quotidiennement. La mauvaise foi est telle qu’il vaut mieux éviter de se faire mal, ils n’ont personne en face pour les contredire.
le matin où Boniface s’expliquait sur son livre, la voix d’Adler fut chagé d’émotion, et sa chronique fut une critique de la politique administrative américaine antifrançaise,
http://www.franceculture.com/player?p=reecoute-4259811#reecoute-4259811
Ils découvrent une Amérique antifraçais et dédaigneuse, alors que jusqu’à présent, on nous cassait les oreilles par l’antiaméricanisme primaire des Français. Une indignation bien tardive.
j’espère un vent nouveau, avec notamment internet, apportera un air de liberté médiatique plus importante et plus durable.