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Commentaire de Bovinus

sur Syrie : Hamza ,13 ans, martyrisé et martyr


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Bovinus Bovinus 31 mai 2011 21:25

Laissez tomber, vous n’y arriverez pas. La guerre a surtout été « continuée » par Andropov (le même d’ailleurs qui l’avait réclamée le plus fort), et non par Gorbatchev, le pacifiste réformateur prix Nobel de la paix (même si ça veut rien dire de nos jours) à qui l’on doit la chute du mur de Berlin, ainsi que la Glasnost et la Perestroïka. Bien au contraire, terminer cette guerre était pour Gorbatchev une priorité absolue, imposée dès son arrivée au pouvoir :

As a tribute and memorial to the late Russian historian, General Alexander Antonovich Lyakhovsky, the National Security Archive today posted on the Web (www.nsarchive.org) a series of previously secret Soviet documents including Politburo and diary notes published here in English for the first time. The documents suggest that the Soviet decision to withdraw occurred as early as 1985, but the process of implementing that decision was excruciatingly slow, in part because the Soviet-backed Afghan regime was never able to achieve the necessary domestic support and legitimacy – a key problem even today for the current U.S. and NATO-supported government in Kabul.

The Soviet documents show that ending the war in Afghanistan, which Soviet general secretary Mikhail Gorbachev called “the bleeding wound,” was among his highest priorities from the moment he assumed power in 1985 – a point he made clear to then-Afghan Communist leader Babrak Karmal in their first conversation on March 14, 1985. Already in 1985, according to the documents, the Soviet Politburo was discussing ways of disengaging from Afghanistan, and actually reached the decision in principle on October 17, 1985.

En ce qui concerne la « boucherie totale » (sans aucune autorisation de l’ONU, ne manquons pas de le rappeler) perpétuée par les méchants Russes, je ne pense pas que la « démocratisation » menée actuellement par les gentils Américains (sans aucune autorisation de l’ONU non plus) ait beaucoup à lui envier.

Ensuite vous déviez le problème. Le fond du sujet est que dans ce cas le boucher n’était pas Bush mais l’URSS.

Oui oui, j’avais bien compris ; je ne faisais que vous taquiner sur un lapsus (conséquence d’un conditionnement médiatique ?). Promis, je le ferai plus.

Cela est évident car lorsqu’on est complètement envoûté par une obsession on ne peut être intègre.

Pétez un coup, ça ira mieux ensuite.


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