oui, oui... c’est ça... l’élite... corrompue, pervers, décadente, tout ça, tout ça... mais bien sûr !
Réduire la perversion à sa dimension morale et criminelle... C’est bien ce que je disais... On confond tout. Et toute personne qui a le malheur de faire des différences là où régne la confusion se fait traiter de malade dangereux.
ps : un simple regard à wiki vous aidera peut-être à en apprendre un peu plus sur la nature humaine... Je suis bon prince, je copie-colle.
En psychanalyse, Sigmund Freud
a d’abord inclus la perversion dans le cadre de la sexualité humaine
générale, pour l’étudier ensuite dans une perspective psychogénétique de
fixations et de régressions. Il situe la perversion dans les pulsions
qui visent une satisfaction « polymorphe », c’est-à-dire un but autre
que génital. C’est déjà, selon lui, un processus normal chez l’enfant,
« pervers polymorphe », selon sa célèbre formule. Mais c’est surtout
l’adulte qui, dans son développement, est l’enjeu de la dynamique des
fixations et des régressions, et qui peut développer une perversion dans
le sens psychopathologique.