En Europe, en France,en Espagne, il est une question politique absolument centrale dans l’esprit de beaucoup de gens. Elle est également économique, culturelle, civisationelle (?), Elle touche au quotidien. Elles a de nombreuses implications pour le futur a tous égards. C ’est l’immigration.
En France, un bon 20% de l’électorat au minimum y est résolument hostile. Un autre 20% favorable par principe> Dans les 60 % qui restent, on trouve a peu pret toutes les gradations imaginables, mais le nombre d’indifférents parfait est assez limite.
Autour de ces questions ont eu lieu les évolutions politiques les plus significatives en Europe. Apparition de droites dites populistes dans des pays ou on ne l’imaginait guère possible. ( Finlande), tremblement de terre de 2002 en France etc...
En Espagne, si on en croit les sondages, la part de la population ayant une hostilité de principe a la poursuite de l’immigration, serait encore plus importante qu’en France. Certains sondages parlent de 80%
Je ne doute donc pas une seule seconde que le sujet ne soit traite par ces assemblées « représentatives démocratiques donnant la parole a tous le monde de façon apolitique ».
En revanche, j’appréhende, compte tenu a nouveau du caractère massif du rejet de la population espagnole, renforce par la crise économique et le chômage que n’aient put être adopte des position « populistes ». D’autant que, dans la rue, dans l’emotion du moment et a chaud, il est toujours possible que les proposition les plus démagogues l’emportent sur les raisonnables.
Je serai vivement intéressé que vous nous disiez quel type de consensus a été trouve entre la grande masse des citoyens hostiles et la petite minorité des favorables ?