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Il me semble que comparer ce que suggère « Suzanne et les vieillards »
c’est à dire des projections imaginaires, subjectives,
tant du coté du peintre que du public,
et la situation absolument réelle, concrète, de l« affaire DSK »,
qui devrait être traitée hors toute fantasmatique, en scrutant les faits,
et la part de l’un, de l’autre, et du Pouvoir sur l’un et l’autre dans ce cas particulier,
est un raccourci un peu étonnant chez quelqu’un habituellement plus distant.
Une association entre des traits isolés (vieillard/jeune femme)
n’est pas une analogie de situation.
D’autant que dans la situation réelle telle que rapportée,
c’est DSK qui serait nu, la jeune femme étant habillée.
Ce détail seul renverse pas mal, il me semble, le pouvoir des images,
et prolonge la reflexion.
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