@ LE CARDINAL - soi disant,
Collon et son antisionisme ligth, est pratiquement démasqué par Soral ...
Déconstruction d’une histoire mythique - Comment fut inventé le peuple juif
Par Shlomo Sand
Extrait :
A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse
nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas
de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions
successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient.
Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui
voudrait que les Juifs soient les
descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les
héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars.
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Gracieusement, je te donne quelques citations de tes semblables qui démontrent la diabolique idéologie que tu défends ... Le monde est au courant à présent, la vérité vient ... bientôt ... Et pas par là ou tu l’attends !!!
- « Nous devons expulser les arabes et prendre leur
place ».
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël.
- « « Nous devons utiliser la terreur, les
assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt
de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa
population arabe ».
Israël Koenig, « The Koenig memorandum ».
- « La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou
au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du
Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis
sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une
seule tribu ».
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973.
- « Le sang juif et le sang des « goys »
(non-juifs) ne sont pas les mêmes ».
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est
pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19
juin 1989.
- « Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de
la frontière en lui refusant du travail. Le processus
d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené
discrètement et avec circonspection ».
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale,
note du 12 juin 1895.
- « Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les
palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux
mourront et les jeunes oublieront ».
David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948.
- « Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera
plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués
dans une bouteille ».
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense
israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983.
- « C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer
à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain
nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de
ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation
ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation
de leurs terres ».
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972.
- « Des villages juifs ont été construits à la place
des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et
je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent
plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent
plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé
Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle
de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a
pas une ancienne population arabe ».
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz,
4 avril 1969.
- « Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y
a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons
pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas
d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers
les pays voisins - tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne
doit rester.
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence
juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem ».
- « Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais
un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays.
C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les
concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu
l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de
leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous
avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ?
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum
Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.
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