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Commentaire de Gabriel

sur Pour une écologie humaine : entre un néolibéralisme prédateur et l'éthique des spiritualités


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Gabriel Gabriel 21 juin 2011 11:19

Nous vivons et évoluons dans un monde qui a ses limites. La terre peut nourrir et accepter la vie dans un écosystème équilibré pour 6 à 10 milliards d’être humains, elle ne le pourra plus pour 15 ou 20 milliards avec le mode de vie matérialiste et productif actuel. Demander un point de vue objectif sur l’écologie à un financier revient à demander de réciter la Torah à un nazi. Il faut revoir nos modes de consommation mais il faut surtout gérer les populations via un contrôle de naissance car, même avec les meilleures intentions du monde, nous allons atteindre un nombre d’individu ingérable écologiquement parlant. Croire que l’activité humaine (Pollution, déforestation etc…) n’a pas d’impact sur le climat, c’est grave ! Maintenant comparer l’écologie à une religion (A part, bien sur, quelques intégristes), c’est débile. Une religion vous avez le choix d’y adhérer ou pas. L’écologie n’est pas un choix mais une nécessité car elle est partie intégrante même de la vie, du vivant. Actuellement, nous voyons l’impact écologique du nucléaire sur l’environnement, et ce n’est qu’un début. Vous parlez de la nécessité d’une dimension religieuse de l’homme, je préfère le terme de dimension spirituelle qui me semble plus en adéquation et moins réducteur. Cette spiritualité exprime le fait que l’humain est en communion ou connexion avec son environnement. Il doit agir en fonction de ses besoins et en rapport à l’équilibre de son écosystème. Un système capitaliste ne peut être écologiquement viable car basé sur la production et la surconsommation entraînant immanquablement destruction et  pollution. Excellent article, merci.


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