La vérité sur les origines du SIDA est en effet secrète.

Pour autant l’hypothèse présentée ici n’est, à mon avis pas la bonne. Il en est une autre que je tiens de gens en qui j’ai eu confiance, à savoir la LAVDAM, une association luttant à l’époque contre la vivisection. Cette association n’existe plus mais elle avait de bonnes sources pour cette époque où la recherche de la vérité n’était pas facile : Internet n’existait pas ! 

Tout d’abord l’article pêche par quelques grossières erreurs qui suffisent à le disqualifier. En 1959 il n’y avait rien ! Le SIDA est apparu bien après grâce à la mutation d’un virus proche, lequel n’existait donc pas auparavant (ce point n’est pas contesté, seuls les détails qui suivent sont niés ou secrets.) De plus le VIH n’a pas « été identifié en 1983 » mais redécouvert par des chercheurs français puisqu’au USA la chose était déjà connue mais classifiée top secret. Les américains ont alors fait semblant de l’avoir découvert aussi mais cette manoeuvre n’aurait dû tromper personne ! 

Par ailleurs c’est bien aux USA et non en Afrique que sont apparus les premiers cas.

Venons-en maintenant à l’autre hypothèse : Le SIDA est apparu dans un laboratoire américain qui travaillait sur la faisabilité des xénogreffes, une folie qui possède encore aujourd’hui ses savants fous. Pour ce faite le laboratoire s’essayait à des clonages thérapeutique à partir d’organes de chimpanzés... Arrive les premiers cas de SIDA. Des soupçons tournent autour du laboratoire... Tous les singes du laboratoire sont renvoyés en Afrique pour soit-disant vice dans la marchandise. A partir de là l’affaire échappe à tout contrôle !

Ceci-ci je n’ai pas gardé mes notes de l’époque et donc je ne possède plus le nom du laboratoire mais j’ai confiance dans ma source !