L’origine du Sida ?
Le Sida est la plus grande catastrophe sanitaire de l'histoire de l'humanité. A ce jour, il a fait 26 millions de morts et 40 millions de personnes sont infectées. L'épidémie a commencé dans les années 80.
La communauté scientifique s'accorde sur le fait que le SIDA est apparu sur le continent africain vers 1959. En effet, cette année-là, 2000 prises de sang avaient été effectuées sur des Congolais. Des dizaines d'années après, un scientifique a eu l'idée de tester ces sérums : il y a trouvé un sérum séroséropositif. Il s'agissait d'un prélèvement effectué à Kinshasa, au Congo, en 1959, soit 20 ans avant le début de l'épidémie.
Le VIH a été identifié en 1983. Il est la forme humaine du VIS (virus d'immuno-déficience du singe). La thèse officielle quant aux origines du SIDA est la théorie du chasseur : un chasseur de singes aurait était infecté par accident. Mais les Africains chassent et mangent des chimpanzés depuis la nuit des temps… Comment expliquer alors que le virus n'ait jamais été transmis à l'homme auparavant ?
Il existe une autre théorie, très argumentée, dont la communauté scientifique refuse d'entendre parler : le Sida serait le résultat accidentel d'expérimentations médicales à grande échelle sur des Congolais, dans les années 1950…
Un journaliste Américain, Edward Hooper, a consacré 17 ans de sa vie à étayer cette théorie et a publié en 1999 un livre de plus de 1000 pages : 'The river'. Il y établit les très nombreuses corrélations entre les campagnes de vaccination menées par le Professeur Koprowski et l'épidémie du Sida. C'est l'hypothèse la plus haïe du monde médical…
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Une stupide et dangereuse course vers la gloire…
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Hilary Koprowski, jeune scientifique d'origine polonaise, brillant et très ambitieux, voulait être reconnu aux USA…
En 1950, dans l'Etat de New York, il expérimente clandestinement un nouveau vaccin anti-polio sur 20 enfants handicapés ! Le test est un succès mais le scandale éclate : la communauté scientifique le sanctionne et les autorités officielles lui retirent leur soutien.
Koprowski s'obstine et se tourne vers le secteur privé : les industries pharmaceutiques. Il poursuit ses recherches et teste différentes versions de son vaccin sur de petits groupes humains entre 1952 et 1955…
En 1955, 260 enfants ayant reçu le vaccin Salk (qui était le vaccin anti-polio utilisé jusqu'alors) tombent malades, 11 d'entre eux meurent (certains lots étaient défectueux). On ne fait plus confiance au vaccin Salk : la voie est libre pour Koprowski.
Albert Sabin, autre « géant » de la science, veut lui aussi concevoir un nouveau vaccin contre la polio. Sabin et Koprowski poursuivent donc le même objectif, ils se livrent un duel sans merci : il s'agit d'être le premier à prouver la fiabilité de son vaccin.
Cette course aura des conséquences abominables…
(Il faut savoir qu'à cette époque, tous les Américains sont déjà immunisés contre la polio. Il s'agissait donc d'une course à la réussite individuelle, à la gloire personnelle…)
Sabin se tourne vers son pays d'origine, l'URSS, et passe un accord secret : six millions de russes sont vaccinés contre la polio avec le vaccin Sabin.
Quant à Koprowski, il choisit le Congo Belge : un million de congolais sont vaccinés entre 1957 et 1960. Or, c'est à cette époque et à cet endroit que l'on situe les premiers cas connu de Sida.
En 1958, Sabin démontre que le vaccin de Koprowski est instable et il y trouve un virus qu'il appelle virus X. C'était très probablement le HIV. (Plus tard, quand des scientifiques comme Fox voudront analyser des échantillons des premiers lots de vaccins utilisés au Congo, on leur répondra qu'il n'en existe plus…) Sabin informe Koprowski de son inquiétante découverte, mais Koprowski refuse de prendre cette nouvelle en considération !
Sabin publie cette information. En 1960, son vaccin est choisi pour remplacer le vaccin Salk. Pourtant, le vaccin Sabin n'était pas parfait non plus : fabriqué à base de cellules de singe, il était infecté par le SV40…
A l'époque, les autorités sanitaires savaient qu'il existait 40 espèces de virus naturellement présents chez les singes !!! Elles savaient également que des cellules susceptibles de comporter des virus étaient présentes dans les vaccins !!! Mais elles auraient dissimulé l'information et refusé de reconnaître qu'il s'agissait d'un virus !!! Les industries pharmaceutiques ont fait pression car un changement de méthode de fabrication aurait coûté trop cher !!! On a continué (et on continue encore !!!) à fabriquer des vaccins à base de cellules de singe !!!!!!!!!!!!!!!
Le vaccin Koprowski est donc tombé dans les oubliettes… Mais les méthodes ignobles de Koprowski laisseront une trace indélébile dans l'histoire de l'humanité…
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Des méthodes monstrueuses…
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Le VIS, 'ancêtre' du VIH, est un virus naturellement présent chez les chimpanzés.
Or, Koprowski a utilisé des chimpanzés comme cobayes ET comme matière première pour son vaccin anti-polio. Aujourd'hui, DEVENU RICHE ET PUISSANT ( !!!!!!!), pionnier dans la recherche sur la fièvre jaune, la rage, la polio, expert du cancer et du SIDA (gonflé, quand même…) , il nie farouchement avoir utilisé des chimpanzés et prétend s'être servi d'autres espèces de singe, sans bien-sûr le prouver…
Mais un reportage d'archive tourné par la télévision de l'époque montre très clairement que Koprowski utilisait de nombreux chimpanzés dans ses centres expérimentaux.
En effet, au milieu des années 50, Koprowski a crée au Congo un centre d'expérimentation où ont étés torturés des centaines de chimpanzés. Aucun n'en est sorti vivant… Je vous épargne les descriptions des images que j'ai vues, je vous signale juste que, comme d'habitude, elles sont ignobles…
Il est prouvé qu'une partie du sang et des tissus de ces animaux était expédié dans les laboratoires de Stanleyville ou étaient éloborés les vaccins Koprowski.
Les chimpanzés étaient stockés au camp Lindi, au Congo. Les fondateurs de ce centre nient aujourd'hui son existence. Mais plusieurs africains ont affirmé y avoir été employés (et j'ai vu des photos de ce centre « qui n'existait pas »…).
Un infirmier congolais, Joseph Limbaya a expliqué qu'il y tuait 2 à 3 chimpanzés par jour, sur la demande des médecins. Il prélevait ensuite leur sang, leur foie, et leurs reins. Il affirme même que de nombreux chimpanzés ont subi des vivisections : ils étaient alors chimiquement paralysés mais restaient conscients et sensibles à la douleur… (l'anesthésie coûte-t-elle si cher que ça ? Un dentiste anesthésie ses patients à la moindre petite douleur…)
Or, à cette époque, le prélèvement d'organes sur animaux vivants servait surtout à la culture des tissus, ingrédients indispensables à la fabrication des vaccins… Mais Koprowski continue à nier en bloc…
Philippe Elibe, congolais employé par le laboratoire de Stanleyville de 1956 à 1960, affirme y avoir préparé des milieux de culture avec le Dr Courtois.
En 1992, Gaston Ninan, microbiologiste à Stanleyville, a expliqué à Hooper (le journaliste) que le virus était cultivé sur des cellules de reins de chimpanzés :
" Le virus était cultivé sur des cellules de rein de chimpanzé"
" Les cellules de rein de chimpanzé se reproduisent facilement et c'était un bon substrat pour le virus de la polio."
Il s'est ensuite totalement rétracté (alors que l'interview avait été enregistrée !). Hooper n'a donc pas pu publier cette déclaration dans « The river ».
Du sérum de chimapanzé a été utilisé dans les vaccins. Dans ces sérums, il y a des macrophages (qui sont des globules blancs). Or, les globules blancs sont la première cible du virus...
Pour moi, il n'y a aucun doute : Koprowski a utilisé des chimpanzés pour ses expérimentations médicales ET comme matière première de ses vaccins. Et aujourd'hui, il le nie en bloc, probablement conscient de son hallucinante connerie : on comprend qu'il ne veuille pas entrer dans l'histoire comme étant le 'père' du SIDA !!!
Si on y ajoute le fait que Koprowski avait pour habitude d'expérimenter ses 'trouvailles' sur des êtres humains (en l'espèce un million de congolais en 4 ans) , son absence totale d'éthique fait froid dans le dos…
La carte que vous verrez en photo est édifiante : l'immense majorité des premiers foyers d'épidémie sont exactement les sites où ont eu lieu les expérimentations humaines de Koprowski. Les rares différences sont dues au fait que certaines personnes se sont déplacées en 20 ans…
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Un rejet violent de la théorie de Hooper
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Bill Hamilton, le plus grand biologiste de l'évolution depuis Darwin, s'allie à Hooper. Il considère qu'il y a 95% de chances que le Sida soit le résultat accidentel des expérimentations de Koprowski et, affirmatif, commente même : « Ca s'est produit ! ». Personnellement, je pense qu'il disait 95% par réserve scientifique ; mais en son for intérieur, il savait que Hooper avait malheureusement raison…
Hamilton estime que « l'hégémonie des industries pharmaceutiques » est devenue « une entrave à l'indépendance de la recherche médicale ».
Il déplore que les scientifiques refusent de reconnaître leur responsabilité morale. Il s'alarme de cette « position quasi-paranoïaque de rejet » : si on ne reconnaît pas cette possibilité, « on s'expose à des désastres équivalents sinon bien pires ».
Hamilton réclame une conférence scientifique concernant l'origine du Sida. Il se rend au Congo pour essayer de prouver l'exactitude de la théorie de Hooper. Malheureusement, il y contracte la malaria et décède en mars 2000...
La conférence reste maintenue en son honneur et se déroule les 10 et 11 septembre 2000.
Hamilton étant décédé, Hooper, le journaliste, se retrouve seul face à la communauté scientifique. Il demande que des experts prennent le relais et qu'ils examinent sa théorie avec une approche scientifique.
Koprowski et ses collaborateurs enchaînent les arguments pour anéantir la thèse de Hooper. Ils vont même jusqu'à remettre en cause la date de l'apparition du SIDA, qui était jusqu'alors communément admise.
Ils affirment même avoir retrouvé un échantillon du vaccin Koprowski qui se serait révélé séronégatif. Pourtant, certains scientifiques (comme Fox) avaient déjà demandé à réaliser une analyse sur le vaccin Koprowski : les autorités officielles avaient alors prétendu qu'il n'existait plus aucun échantillon de ce vaccin… Mais, comme par miracle, un échantillon est réapparu au moment de cette conférence…
Même si c'était vrai, je pense que la séronégativité d'un seul échantillon ne signifie pas que TOUS les lots étaient sains (plus encore quand on connaît les méthodes de Koprowski). Je ne suis pas scientifique, mais pour moi, leurs arguments ne tiennent pas la route…
Hamilton étant décédé, Hooper s'est retrouvé seul face à des scientifiques qui ne supportaient pas l'idée de sa théorie, et, bien-sûr, il ne faisait pas le poids… Tout était joué avant la conférence...
Personne n'a donc vérifié scientifiquement la découverte du journaliste (qui, je le rappelle, a consacré 17 ans à ce travail !), elle n'est donc ni confirmée, ni vraiment infirmée.
La thèse de Hooper reste « l'hypothèse la plus haïe du monde médical ».
Pierre Doupagne, docteur responsable des analyses au laboratoire de Stanleyville, avoue qu'à l'époque, personne ne prenait aucune note, « on ne sait donc pas exactement ce qu'on a fait là bas ». Et vu la réaction des scientifiques, on ne le saura probablement jamais (plus le temps passe, plus il sera difficile de trouver des preuves…)
Mais pour moi, pas de doute : encore une ignominie due à quelques #¤ # !# qui se torchent avec l'éthique tous les matins : absence totale d'humanité (envers les animaux et les humains), appât du gain et du pouvoir, mensonges malgré des risques connus, non-respect du principe de précaution, prétexte scientifique (je rappelle qu'il existait déjà un vaccin polio), priorité de l'argent sur l'éthique… Le cocktail ne pouvait être qu'explosif…
Malheureusement, je crois que Hamilton avait entièrement raison : en niant cette réalité, on s'expose à des catastrophes encore pires… OGM, Vache folle, déchets radio-actifs, pollutions nombreuses et massives, déforestation, réchauffement climatique, fonte des glaces, exploitation irresponsable de la nature, règne absolu de l'argent, éthique bafouée à chaque seconde…. Le cauchemar continue...
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Source principale : 'Contre-courant' - émission sur les origines du Sida.
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