@Bonsoir Annie,
Le gouvernement élu démocratiquement ne lui donne pas une inffaillibilité quant aux erreur ou pire des fautes gravissimes qui vont à l’encontre du peuple. Ce n’est pas pour rien que l’on a prévu le cas de haute trahison. L’intelligence avec l’enemie n’est pas uniquement limitée en temps de guerre.
Il faut demander des comptes des errreurs, c’est grave ce qui se passe, et avant de payer demandant un compte bien précis.
Caroline Fourest a également raisonné de la même façon en estimant que le vote démocratique lie le peuple. Je ne suis pas de tout d’accord, le vote n’est pas un blanc seing donné aux gouvernement. Même en droit civil, le mandataire est responsable s’il fait une gestion désastrueuse de son mandat.
Remaquer que le même problème se pose avec les dirigeants des grandes entreprises, des fois ils partent avec de gros parchutes dorés alors qu’ils ont laissé une entreprise au bord du gouffre à la suite d’une gestion désastreuse.
Mais pour cela il faut montrer que la gestion fut saine, qu’il n’y a pas eu fraude, négligence, collusion etc.
Pourquoi avoir peur de réclamer des audits.
S’il s’avère que la dette est immorale, odieuse,
et bien les créanciers sont résponsables de leurs turpitudes. Après tout c’est une bulle spéculative qui saigne l’économie réelle au profit de la finance basé sur la spéculation. On ne peut que sortir gagant. En tout cas ce ne sera pas pire que maintenant.
C’est une circonstance exceptionnelle, sauf que les médias ne lui donnent pas l’echos nécessaire.