Vous voulez absolument normaliser la situation du couple homosexuel, en la comparant au couple hétérosexuel, et en la déclarant équivalente. Pour cela, vous vous fondez sur les bons sentiments : ouaih mais si les deux hommes s’aiment (il faudrait s’entendre sur la signification du mot « aimer »), et qu’ils se soucient du bonheur de l’enfant, c’est l’essentiel non ? Et bien non. Vous pensez non pas à l’enfant, mais aux prétendus droits à défendre. L’enfant n’est rien, en réalité, pour vous. Il a besoin de la différence sexuelle de ses parents, qu’il n’a hélas pas lorsqu’il se retrouve sans père ou sans mère, dans la mesure où l’un des deux a déserté. Vouloir ajouter des situations anormales à d’autres qui le sont déjà est en soi criminel. Cela me fait penser aux abrutis qui, voulant légaliser le cannabis, montre du doigt l’alcool en le désignant comme étant une drogue qui elle est en vente libre. C’est exactement le même schéma. A un fléau, n’ajoutons pas un autre fléau. Ce n’est pas parce que des enfants sont déjà privés d’un de leur deux parents qu’il faut les instrumentaliser pour soutenir des revendications douteuses et foireuses en matière de prétendus droits