« Bref, comme l’immense majorité des articles féministes, c’est un article d’un sexisme malsain qui agresse les hommes. »
C’est justement ça le problème, cher M. Tikhomir ! Se sentir agressé quand le risque existe de se voir contester sa supériorité...
Comme vos analyses dépassent rarement le seuil du préjugé, du lieu-commun, je ne saurais trop vous conseiller, afin d’enrichir votre discours, la lecture de Bourdieu, dans ce cas précis. L’étendue de la dite « domination masculine » a ceci de pervers qu’elle légitime une position telle que la vôtre, faisant passer, entre autre, l’orientation scolaire des femmes pour des choix délibérés, et qui ne concernent que lui...
Votre analyse ne vaut pas mieux que ce torchon, qui nous emmène vers la conclusion que c’est la peur qui inhibe le choix des femmes à l’apprentissage scientifique, la peur de devoir faire un choix entre carrière et vie de famille.
Je cite Julia Kempe : "Elles (les femmes) n’osent pas, parce que la recherche a la réputation d’être très
prenante, donc difficilement conciliable avec la vie de famille. Mais la
science, c’est avant tout de la liberté et du plaisir, les femmes sont
faites pour ça !«
Cet argument, je n’arrive pas à le comprendre. Quel peut bien être le rapport entre science et assiduité à la pratique de la science ? N’est-ce-pas confondre rendement et pratique ? Et puis, l’auteure n’admet-elle pas implicitement que la vie de famille est une affaire de femmes ?
Y’en a marre de cette différenciation malsaine !
»Pourquoi ne pas encourager les garçons à se diriger vers les séries L ?"
par ce ke cé pa dé pédé ? J’ai bon ?