Attention, une bonne partie des américains a une existence plus proche de la précarité que de l’opulence. Les fins de mois difficiles des millions d’entre eux commencent à connaître. Ce qui reste de la midle-class est en train de sombrer en silence. C’est difficile de s’avouer à soi-même que l’on a quitté cet espace où l’on pouvait espérer un mieux être, un (des) progrès sociaux. Ces temps sont révolus, tout se rigidifie, se cristalise. L’horizon devient à court terme. On gère le quotidien mais il n’y a plus de projet.
Lentement mais surement, la France bascule vers ce néant, précipité par la junte et ce parti socialiste de pacotilles.