Allons, allons, vous en prêter de l’ambition à jojolebarjo : il est juste revenu de la superette de son bled avec ses packs de kronenbourg par 24. C’est juste un résultat de son ébriété. Ne cherchez pas le début du commencement d’un raisonnement déductif : c’est juste de l’alcoolémie.
En fait, il serait bienvenu que des voies réservées aux seules deux roues soient crées. Ne dites pas que c’est impossible, il y a des villes en asie où cela existe. Le trafic s’il n’est pas rapide est fluide, en permanence qu’il pleuve ou pas. Cela étant, c’est aussi une question de comportement et de............ ; culture. Un petit aperçu d’une ville ou circule plus de cinq millions (oui, oui) cinq millions de bécane (125 max) : https://www.youtube.com/watch?v=4phFYiMGCIY
En France, nous avons le branleur en scooter et l’impuissant en Jaguar, Mercedes, Ferrari voir pire, en 4 x 4, autrement dit des cons et encore, des gros cons. Inutile d’attendre quoi que ce soit de ces abrutis qu’autre chose que des comportement ...d’abrutis et son cortège d’accident.
Les perspectives radieuses de l’auteur sont entre autres d’investir dans les maisons de retraite non pas pour le bien des pensionnaires mais pour faire du fric (en leurs pompant tout ce qu’il peut et aux descendants si besoin était) ou de vouloir au final, gangréner le système de santé français. Vouloir conforter son baratin, en dévoyant par ses interprétations, des statistiques : c’est une vieille ficelle pour les habitués des conseils d’administration d’association ou d’assemblée générale, sauf que dans son l’articulet, on voit tout de suite la baraque. Sa tentative d’enfumage fait un flop retentissant comme le ferait Roselyne Bachelot si l’envie lui prenait de parler des problèmes de santé publique. Grotesque.
Le malade avec son saladier sur la tronche qui n’a toujours pas digéré la raclée qu’il s’est prise à la présidentielle avec son jockey débile. Quelle vieille carne. Quel bourrin.
Un comique de bazar, communautariste foireux, un De funès de monoprix, tout juste capable de faire décrocher un sourire à une caissière en fin de journée. Dommage que Sacha Distel soit mort, on aurait pu lui demander de l’inviter à faire un tour dans sa bagnole avec des pneus bien lisses si possible. Un poteau edf au bout d’une ligne droite : voilà un bel article pour lui dans les journaux télévisés.