« » comment voulez vous que Depardieu et les autres ne partent pas ?« » justement ! Casse toi, pochetron ! Qu il se barre et qu il la fasse enfin sa cirrhose. Qu il débarrasse le plancher ce vieil acteur, soulard à plein temps. Bouffi de suffisance et d’alcool, on ne peut être d’accord avec lui que sur un point : la justesse de l’opinion qu’il a de lui même. Un éclair de lucidité dans son ébriété permanente.
Le décérébré avec son saladier sur la tête qui la ramène encore. A l’insu de son plein, il avoue qu’il lui faut sa dose. A défaut, il serait en manque comme un junkie d’où l’intérêt des articles d’Ariane qui lui font office de thérapie. Argumentation toujours à coté de la plaque, raisonnements bidons, illustration du beauf au neurone carbonisé par la propagande des Laurels et Hardy tricolores qui s’empapaoutent de façon forcenée, à grands coups de tirades foireuses. Il est à l’image de son parti.