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le poulpe entartré

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  • le poulpe entartré 11 février 2011 02:37

    Et cochon qui s’en dédit ! Gaston Dominique Strauss Kahn prochain président de la république ce sera la fin de la France. Après avoir mis la Grèce à genoux en imposant une déflation des salaires sans précédent, la mise en oeuvre d’une politique de destruction des services publiques et du tissus social Grec ; son intention de transposer son plan à la godille ici même, transparait chaque jour un peu plus. Sachant qu’il doit mettre en oeuvre une série de mesure destinées à dénaturer la société française comme l’actuel gouvernement, il effectue sa propre mise en scène, progressivement.

    Etape 1 : ne pas partir trop tôt pour les élections présidentielles. C’est une course de fonds. François Mitterrand avait ainsi coiffé et ridiculisé confortablement Chirac.

    Etape 2 : se laisser désirer en restant distant des scandales éventuels des partis. C’est mieux de laisser les turpitudes de la mnef là où elles sont, isn’t it ? Pour ce faire, Anne Sinclair de son vrai nom Anne Schwartz, entre en piste. La décision de se présenter au élection ne lui incombant pas (« je ne veux pas qu’il fasse un second mandat au FMI ») ; c’est tout à fait naturel qu’il mette son leadership et ses « compétences » pour être intronisé de-facto, en porte-flambeau socialiste, selon lui.

    Etape 3 : faire jouer l’opinion contre tous les candidats des primaires socialistes. Il s’agit d’un pseudo référendum par omission. En jouant sur l’émotionnel et non sur ce qu’il manque, c’est à dire un ensemble de projets calculés, chiffrés pour les Français, des perspectives ; il lui est possible de masquer ce qu’il prépare.

    Etape 4 : dès que l’opinion des militants aura été retournée, la manipulation aura réussi. Les candidats de la primaire seront skeezés. Ils ne pourront s’opposer à la volonté « populaire » fabriquée sur mesure. Il aura les mains libres d’avance.

    La stature de GDSK étant sans comparaison avec celle de NS, son comportement plus pondéré en public (ses histoires de fesses c’est du domaine privé ), il donnera l’illusion qu’il est l’homme de la situation, l’homme providentiel. Celui que tout le monde aimerait voir arriver aux plus hautes fonctions pour enfin servir la France et non pas faire mains basses sur tout avec une bande. Le résultat est déjà connu d’avance.

    Cela étant, il aurait fort à faire s’il se retrouvait au second tour, face à Marine Lepen. Sa profession d’avocat lui a amplement permis d’exercer ses réels talents d’oratrice et sa répartie est redoutable. Elle ne s’embarrasse pas d’un vocabulaire aseptisé, quitte à bidonner et faire preuve d’une mauvaise foi caractérisée. Le fait est ; c’est que ça passe.

    A propos, ce ne sont que des hypothèses. En l’état actuel, même si la dynamique GDSK est lancée avec les réacs foireux du PS ; rien ne dit qu’elle va aboutir. Cela dépend en grande partie, de l’état d’éveil des Français. Tant qu’ils seront vigilants, le hold up politique du PS ne se fera pas. Au moindre relachement, ce sera un passage en force. Une fois élu, il se comportera tout comme l’actuel résident de l’Elysées (probablement en bien pire) avec l’alibi d’être du parti de Jaurès et le meilleur candidat pour l’emporter. Peut être bien mais vers quoi ? Au soir des élections, il aura atteint l’âge de 63 ans. Il sera grand temps qu’il parte en pré-retraite, d é f i n i t i v e m e n t.



  • le poulpe entartré 2 juin 2010 12:39

    Très drôle même si c’est cruel pour Arielle. Remballe-moi-cette-camelote ou je t’écrase la gueule à coup de talon (aiguilles) comme dirait le philosophe auteur de bides monumentaux. Effectivement, la malheureuse délaissée a compris que les envolées lyriques de son ex étaient seulement de circonstance. Elle a fait office de potiche par ce que c’est plus chic dans les soirées mondaines que de venir avec médor qui chie dans les bégonias. La situation patrimoniale de l’héritier de la société de commerce de bois africains ayant subi de lourdes pertes financières avec la crise ; il s’est investi sur les marchés à courts termes. La rentabilité est intéressante. Mise de fonds : restaurants, voyages, fleurs, une bague de grande marque, soit un total compris entre dix mille et cinquante mille euros. Gains probables à échéance : plusieurs dizaines de millions d’euros. Bonus du trader d’occasion : une accompagnatrice presque sortie du moule avec quelques retouches d’ajusteur et polyglotte. Kerviel, tu es un amateur, un has been. Des fois la vie est un de ces surfs.



  • le poulpe entartré 1er juin 2010 15:26

    Vous avez tout a fait raison. Ce blocus est illégal en vertu de l’article 89 de la convention du droit maritime internationale ratifié par tous les pays de l’ONU, sans exception.

    Il ne s’agit pas d’un acte de piraterie. Sont répertoriés dans cette catégorie uniquement des intérêts privés. Cela étant, l’état qui a organisé et perpétré sous sa responsabilité, les assassinats de membres d’ONG à bord des navires l’a fait en dehors des ses eaux territoriales. Il n’avait aucune qualité ni aucun droit de le faire. On change donc de cadre ; il s’agit d’un crime contre l’humanité selon l’article 6 du statut du Tribunal de Nuremberg (Charte de Londres, 8 août 1945, résolution de l’ONU du 13 février 1946. Pour mémoire : l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation et tous autres actes inhumains commis contre toutes populations civiles, avant ou pendant la guerre, les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, que ces actes ou persécutions aient constitués ou non une violation du droit interne du pays où ils ont été perpétrés, la participation à l’élaboration ou à l’exécution d’un plan concerté ou d’un complot pour commettre l’un quelconque des crimes ci-dessus définis.

    La jurisprudence récente a également fait apparaître une nouvelle notion : celle du crime contre la paix (cour internationale de justice conflit Serbie). Cette qualification semble donc applicable : les bateaux transportant de l’aide alimentaire et du matériel de btp.

    Cela étant, soyez réaliste. Les trois dernières décades très conflictuelles au moyen orient ont démontré chaque année que le principe de Bismarck est toujours d’actualité : la force prime le droit.  C’est ce qui s’est passé. Souvenez vous qu’Ariel Sharon déclarait ceci : C’est le devoir des dirigeants israéliens d’expliquer à l’opinion publique, de manière claire et courageuse, un certain nombre de faits qui sont oubliés avec le passage du temps. Le premier de ces faits est qu’il n’y a pas de Sionisme, de colonisation ou d’Etat juif sans l’expulsion des Arabes et l’expropriation de leurs terres. » (Ariel Sharon, Déclaration à l’AFP du 15 novembre 1998).  On peut ne pas partager ce point de vue mais il a le mérite de la franchise.

    A noter que la muraille construite en Palestine et/ou Israel, a été jugée illégale par un arrêt émis le 9 juillet 2004 par la Cour Internationale de La Haye. Et depuis ? Rien ne change.

    Donc la presse, la radio, la télévision fait du sensationnel et cela retombera comme un soufflé qui s’effondre. Qui parle encore des bombardements au phosphore des populations civiles palestiniennes ? Des poursuites pour crime contre l’humanité sont elles en cours ? Non.

     

    Cette tragédie car  une armée a ouvert le feu délibérément, en prenant d’assaut des navires dans les eaux internationales, sera une date dans l’histoire mais à priori cela n’ira pas plus loin. L’enterrement de première classe est déjà prévu par la création d’une commission d’enquête. Rien de neuf en résumé.

     

    Dispositions générales

    Article 2

    Régime juridique de la mer territoriale et de l’espace aérien surjacent, ainsi que du fond de cette mer et de son sous-sol

    1. La souveraineté de l’Etat côtier s’étend, au-delà de son territoire et de ses eaux intérieures et, dans le cas d’un Etat archipel, de ses eaux archipélagiques, à une zone de mer adjacente désignée sous le nom de mer territoriale.

    2. Cette souveraineté s’étend à l’espace aérien au-dessus de la mer territoriale, ainsi qu’au fond de cette mer et à son sous-sol.

    3. La souveraineté sur la mer territoriale s’exerce dans les conditions prévues par les dispositions de la Convention et les autres règles du droit international.

    SECTION 2

    Limites de la mer territoriale

    Article 3

    Largeur de la mer territoriale

    Tout Etat a le droit de fixer la largeur de sa mer territoriale, cette largeur ne dépasse pas 12 milles marins mesurés à partir de lignes de base établies conformément à la Convention.

    Article 4

    Limite extérieure de la mer territoriale

    La limite extérieure de la mer territoriale est constituée par la ligne dont chaque point est à une distance égale à la largeur de la mer territoriale du point le plus proche de la ligne de base.

    Article 5

    Ligne de base normale

    Sauf disposition contraire de la Convention, la ligne de base normale à partir de laquelle est mesurée la largeur de la mer territoriale est la laisse de basse mer le long de la côte, telle qu’elle est indiquée sur les cartes marines à grande échelle reconnues officiellement par l’Etat côtier.

    Article 87

    Liberté de la haute mer

    1. La haute mer est ouverte à tous les Etats, qu’ils soient côtiers ou sans littoral. La liberté de la haute mer s’exerce dans les conditions prévues par les dispositions de la Convention et les autres règles du droit international. Elle comporte notamment pour les Etats, qu’ils soient côtiers ou sans littoral :

    a) la liberté de navigation ;

    b) la liberté de survol ;

    c) la liberté de poser des câbles et des pipelines sous-marins, sous réserve de la partie VI ;

    d) la liberté de construire des îles artificielles et autres installations autorisées par le droit international, sous réserve de la partie VI ;

    e) la liberté de la pêche, sous réserve des conditions énoncées à la section 2 ;

    f) la liberté de la recherche scientifique, sous réserve des parties VI et XIII.

    2. Chaque Etat exerce ces libertés en tenant dûment compte de l’intérêt que présente l’exercice de la liberté de la haute mer pour les autres Etats, ainsi que des droits reconnus par la Convention concernant les activités menées dans la Zone.

    Article 88

    Affectation de la haute mer à des fins pacifiques

    La haute mer est affectée à des fins pacifiques.

    Article 89

    Ilégitimité des revendications de souveraineté sur la haute mer

    Aucun Etat ne peut légitimement prétendre soumettre une partie quelconque de la haute mer à sa souveraineté.

     

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