Et cochon qui s’en dédit ! Gaston Dominique Strauss Kahn prochain président de la république ce sera la fin de la France. Après avoir mis la Grèce à genoux en imposant une déflation des salaires sans précédent, la mise en oeuvre d’une politique de destruction des services publiques et du tissus social Grec ; son intention de transposer son plan à la godille ici même, transparait chaque jour un peu plus. Sachant qu’il doit mettre en oeuvre une série de mesure destinées à dénaturer la société française comme l’actuel gouvernement, il effectue sa propre mise en scène, progressivement.
Etape 1 : ne pas partir trop tôt pour les élections présidentielles. C’est une course de fonds. François Mitterrand avait ainsi coiffé et ridiculisé confortablement Chirac.
Etape 2 : se laisser désirer en restant distant des scandales éventuels des partis. C’est mieux de laisser les turpitudes de la mnef là où elles sont, isn’t it ? Pour ce faire, Anne Sinclair de son vrai nom Anne Schwartz, entre en piste. La décision de se présenter au élection ne lui incombant pas (« je ne veux pas qu’il fasse un second mandat au FMI ») ; c’est tout à fait naturel qu’il mette son leadership et ses « compétences » pour être intronisé de-facto, en porte-flambeau socialiste, selon lui.
Etape 3 : faire jouer l’opinion contre tous les candidats des primaires socialistes. Il s’agit d’un pseudo référendum par omission. En jouant sur l’émotionnel et non sur ce qu’il manque, c’est à dire un ensemble de projets calculés, chiffrés pour les Français, des perspectives ; il lui est possible de masquer ce qu’il prépare.
Etape 4 : dès que l’opinion des militants aura été retournée, la manipulation aura réussi. Les candidats de la primaire seront skeezés. Ils ne pourront s’opposer à la volonté « populaire » fabriquée sur mesure. Il aura les mains libres d’avance.
La stature de GDSK étant sans comparaison avec celle de NS, son comportement plus pondéré en public (ses histoires de fesses c’est du domaine privé ), il donnera l’illusion qu’il est l’homme de la situation, l’homme providentiel. Celui que tout le monde aimerait voir arriver aux plus hautes fonctions pour enfin servir la France et non pas faire mains basses sur tout avec une bande. Le résultat est déjà connu d’avance.
Cela étant, il aurait fort à faire s’il se retrouvait au second tour, face à Marine Lepen. Sa profession d’avocat lui a amplement permis d’exercer ses réels talents d’oratrice et sa répartie est redoutable. Elle ne s’embarrasse pas d’un vocabulaire aseptisé, quitte à bidonner et faire preuve d’une mauvaise foi caractérisée. Le fait est ; c’est que ça passe.
A propos, ce ne sont que des hypothèses. En l’état actuel, même si la dynamique GDSK est lancée avec les réacs foireux du PS ; rien ne dit qu’elle va aboutir. Cela dépend en grande partie, de l’état d’éveil des Français. Tant qu’ils seront vigilants, le hold up politique du PS ne se fera pas. Au moindre relachement, ce sera un passage en force. Une fois élu, il se comportera tout comme l’actuel résident de l’Elysées (probablement en bien pire) avec l’alibi d’être du parti de Jaurès et le meilleur candidat pour l’emporter. Peut être bien mais vers quoi ? Au soir des élections, il aura atteint l’âge de 63 ans. Il sera grand temps qu’il parte en pré-retraite, d é f i n i t i v e m e n t.
Très drôle même si c’est cruel pour Arielle. Remballe-moi-cette-camelote ou je t’écrase la gueule à coup de talon (aiguilles) comme dirait le philosophe auteur de bides monumentaux. Effectivement, la malheureuse délaissée a compris que les envolées lyriques de son ex étaient seulement de circonstance. Elle a fait office de potiche par ce que c’est plus chic dans les soirées mondaines que de venir avec médor qui chie dans les bégonias. La situation patrimoniale de l’héritier de la société de commerce de bois africains ayant subi de lourdes pertes financières avec la crise ; il s’est investi sur les marchés à courts termes. La rentabilité est intéressante. Mise de fonds : restaurants, voyages, fleurs, une bague de grande marque, soit un total compris entre dix mille et cinquante mille euros. Gains probables à échéance : plusieurs dizaines de millions d’euros. Bonus du trader d’occasion : une accompagnatrice presque sortie du moule avec quelques retouches d’ajusteur et polyglotte. Kerviel, tu es un amateur, un has been. Des fois la vie est un de ces surfs.
Vous avez tout a fait raison. Ce blocus est illégal en vertu de l’article 89 de la convention du droit maritime internationale ratifié par tous les pays de l’ONU, sans exception.
Il ne s’agit pas d’un acte de piraterie. Sont répertoriés
dans cette catégorie uniquement des intérêts privés. Cela étant, l’état qui a
organisé et perpétré sous sa responsabilité, les assassinatsde membres d’ONG à bord des navires l’a fait
en dehors des ses eaux territoriales. Il n’avait aucune qualité ni aucun droit
de le faire. On change donc de cadre ; il s’agit d’un crime contre l’humanité selon l’article 6
du statut du Tribunal de Nuremberg (Charte de Londres, 8 août 1945,
résolution de l’ONU du 13 février 1946. Pour mémoire : l’assassinat,
l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation et tous autres actes
inhumains commis contre toutes populations civiles, avant ou pendant la guerre,
les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, que ces
actes ou persécutions aient constitués ou non une violation du droit interne du
pays où ils ont été perpétrés, la participation à l’élaboration ou à
l’exécution d’un plan concerté ou d’un complot pour commettre l’un quelconque
des crimes ci-dessus définis.
La jurisprudence
récente a également fait apparaître une nouvelle notion : celle du crime
contre la paix (cour internationale de justice conflit Serbie). Cette
qualification semble donc applicable : les bateaux transportant de l’aide
alimentaire et du matériel de btp.
Cela étant, soyez
réaliste. Les trois dernières décades très conflictuelles au moyen orient ont
démontré chaque année que le principe de Bismarck est toujours
d’actualité : la force prime le droit.C’est ce qui s’est passé. Souvenez vous qu’Ariel Sharon déclarait
ceci :C’est le devoir des dirigeants
israéliens d’expliquer à l’opinion publique, de manière claire et courageuse,
un certain nombre de faits qui sont oubliés avec le passage du temps. Le
premier de ces faits est qu’il n’y a pas de Sionisme, de colonisation ou d’Etat
juif sans l’expulsion des Arabes et l’expropriation de leurs terres. » (Ariel
Sharon, Déclaration à l’AFP du 15 novembre 1998). On peut ne pas partager ce point de vue mais
il a le mérite de la franchise.
A noter que la muraille construite en Palestine et/ou Israel,a été jugée illégale par un arrêt émis le 9
juillet 2004 par la
Cour Internationale de La Haye.
Et depuis ? Rien ne change.
Donc la presse, la radio, la télévision fait du sensationnel
et cela retombera comme un soufflé qui s’effondre. Qui parle encore des
bombardements au phosphore des populations civiles palestiniennes ? Des
poursuites pour crime contre l’humanité sont elles en cours ? Non.
Cette tragédie carune armée a ouvert le feu délibérément, en prenant d’assaut des navires
dans les eaux internationales, sera une date dans l’histoire mais à priori cela
n’ira pas plus loin. L’enterrement de première classe est déjà prévu par la
création d’une commission d’enquête. Rien de neuf en résumé.
Dispositions générales
Article 2
Régime juridique de la mer
territoriale et de l’espace aérien surjacent, ainsi que du fond de cette mer et
de son sous-sol
1. La souveraineté de l’Etat côtier s’étend, au-delà de son territoire et de
ses eaux intérieures et, dans le cas d’un Etat archipel, de ses eaux
archipélagiques, à une zone de mer adjacente désignée sous le nom de mer
territoriale.
2. Cette souveraineté s’étend à l’espace aérien au-dessus de la mer
territoriale, ainsi qu’au fond de cette mer et à son sous-sol.
3. La souveraineté sur la mer territoriale s’exerce dans les conditions
prévues par les dispositions de la Convention et les autres règles du droit
international.
SECTION 2
Limites de la mer territoriale
Article 3
Largeur de la mer territoriale
Tout Etat a le droit de fixer la largeur de sa mer territoriale, cette
largeur ne dépasse pas 12 milles marins mesurés à partir de lignes de base
établies conformément à la
Convention.
Article 4
Limite extérieure de la mer territoriale
La limite extérieure de la mer territoriale est constituée par la ligne dont
chaque point est à une distance égale à la largeur de la mer territoriale du
point le plus proche de la ligne de base.
Article 5
Ligne de base normale
Sauf disposition contraire de la Convention, la ligne de base normale à partir de
laquelle est mesurée la largeur de la mer territoriale est la laisse de basse
mer le long de la côte, telle qu’elle est indiquée sur les cartes marines à
grande échelle reconnues officiellement par l’Etat côtier.
Article 87
Liberté de la haute mer
1. La haute mer est ouverte à tous les Etats, qu’ils soient côtiers ou sans
littoral. La liberté de la haute mer s’exerce dans les conditions prévues par
les dispositions de la
Convention et les autres règles du droit international. Elle
comporte notamment pour les Etats, qu’ils soient côtiers ou sans littoral :
a) la liberté de navigation ;
b) la liberté de survol ;
c) la liberté de poser des câbles et des pipelines sous-marins, sous réserve
de la partie VI ;
d) la liberté de construire des îles artificielles et autres installations
autorisées par le droit international, sous réserve de la partie VI ;
e) la liberté de la pêche, sous réserve des conditions énoncées à la section
2 ;
f) la liberté de la recherche scientifique, sous réserve des parties VI et
XIII.
2. Chaque Etat exerce ces libertés en tenant dûment compte de l’intérêt que
présente l’exercice de la liberté de la haute mer pour les autres Etats, ainsi
que des droits reconnus par la
Convention concernant les activités menées dans la Zone.
Article 88
Affectation de la haute mer à des fins pacifiques
La haute mer est affectée à des fins pacifiques.
Article 89
Ilégitimité des revendications de souveraineté sur la haute mer
Aucun Etat ne peut légitimement prétendre soumettre une partie
quelconque de la haute mer à sa souveraineté.