Voltaire se retournerait dans sa tombe s’il savait qu’un sombre et pathétique parvenu de la pire espèce, celle de « la métamorphose des cloportes » (tirée du livre d’Alphonse Boudard), avait endossé ses vêtements ampoulés et subtilisé son prestigieux patronyme en se présentant à la face du monde comme le digne successeur et grand témoin devant l’éternel des époustouflantes prouesses de sa noble et gracieuse majesté des belles et savantes lettres.
Ce petit commis issu de la valetaille la plus épouvantable que Mirabeau exécrait par dessus tout en le désignant comme étant pire que le bourreau qu’il sert - « Il y a pire que le bourreau, c’est son valet » - semble apparemment ignorer qu’il se rend coupable d’un certain nombre de crimes abjects dont la liste non exhaustive pourrait mentionner le vol à l’étalage du patrimoine national, l’usurpation d’identité d’un de cujus universel panthéonisé dont les oeuvres ont été admis ad vitam aeternam dans le registre artistique de l’intemporalité et le parasitisme particulièrement dégradant de l’image et des ouvrages composant l’héritage culturelle de la grandeur du patrimoine historique de la France et des fançais,...
Ce paltoquet de bas étage atteint de la pathologie de la grenouille qui veut se faire plus grand que le boeuf ose s’essayer au fleuret moucheté contre un bretteur de haute volée qui ne se laissera jamais compter par les fanfaronnades désopilantes de ce cuistre de bouffon qui n’a pas son pareil pour se faire passer, à l’image d’Arias qui sait mieux que quiconque et qui connait les grands de ce monde, pour ce qu’il ne sera jamais.
Je ne peux que lui conseiller d’aller se rhabiller comme il se doit et de se faire petit comme il est afin de cesser de paraître tel qu’il n’est pas et de faire son lit comme il se couche.