Ce qui est dingue est que vous n’avez pas lu l’article avec les liens les dates, les etudes alors on va aider le petit korrigan que vous êtes
D. Noble, historien de l’ingénierie) dira sur
le site ada on line :" Cette misogynie des scientifiques a marqué toute
l’histoire des sciences et persiste toujours dans les faits.
Aujourd’hui encore, l’image du scientifique est masculine.La culture
scientifique s’est conservée et transmise à l’origine dans le monde
ecclésiastique ; par définition les femmes en étaient exclues. Les premières écoles se sont élaborées dans la méfiance et la peur des femmes : on
les considérait comme impures et séductrices par nature, donc
dangereuses pour la discipline et le dévouement à la tâche. " La culture
scientifique n’a pas seulement exclu les femmes, elle s’est définie au
mépris des femmes et en leur absence"
Michèle Le Dœuf, philosophe, note que dans un manuel français de sciences physiques de 1996,
sur toutes les images, les porteurs de blouse blanche sont des hommes.
Comment, dans ces conditions, les filles pourraient-elles construire un
modèle scientifique positif ne leur posant pas de problème d’identité ?
Alors qu’un article du CNRS montre
que les femmes comme l’ont été les minorités opprimés à intérioriser
l’idée qu’elles sont inférieurs, moins capable comme le note Claude
Steele aux États-Unis (Université de Stanford), il est vrai que les
femmes s’avèrent parfois moins performantes que les hommes sur les tests
standardisés de mathématiques utilisés pour sélectionner les étudiants à
leur entrée à l’université. Il reste que c’est souvent la seule
crainte de se montrer conforme au stéréotype négatif (infériorité du
sexe féminin) qui entrave la performance des femmes sur les tests en
question.