Fourest qui ose employer le mot de clone , on croit rêver ! Car elle est assurément un clone de tous ces portes-voix qui peuplent la sphère merdiatique en nous abreuvant à longueur de temps avec, si non de la non-information, du mensonge délibéré (le mensonge par omission est aussi un mensonge).
Alors rappelons leurs, à tous ces clones, la charte de Munich sensée guider l’étique (je m’étrangle presque en écrivant ce mot) de leur profession :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Munich
Les dix devoirs de la charte
- Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître
- Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique
- Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les
accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas
supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et
les documents
- Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents
- S’obliger à respecter la vie privée des personnes
- Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte
- Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement
- S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation,
les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque
avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une
information
- Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du
publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe
ou indirecte, des annonceurs
- Refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.
Combien sont-ils qui respectent encore cette charte ? Tout au plus une petite poignée ...
Fourest Caroline vous n’avez du journaliste que la carte de presse, certainement pas l’étique !
Razzara