Il me semble que l’auteur commet plusieurs erreurs !
Question 3) « En cas de lutte, pourquoi DSK ne portait-il aucune marque de coups ou de griffures sur le visage ? »
Dès le 16 mai la police de NY fait savoir que l’examen médical de DSk révèle des griffures sur le torse.
Question 3) " Pourquoi l’avocat de Nafissatou Diallou n’a-t-il pas immédiatemment
exploité les résultats des tests ADN (attestant d’un acte sexuel ou
« masturbatoire »), les certificats médicaux et les documents photos
afférents ?«
Parce qu la plaignante et son avocat ne reçoivent pas les pièces du Procureur ! Ils ne sont nullement présents dans la procédure en cours puisque c’est le Procureur qui , seul, représente la plaignante. Le procureur n’est tenu de communiquer ses pièces qu’à la défense de DSK.
Question 8) »Pourquoi la frange « strauss-kahnienne » du Parti Socialiste
soutient-elle autant son poulain à la réputation désormais trop salie au
risque d’éclabousser durablement son propre camp ? Pourquoi
invoque-elle un complot (impliquant l’hôtel Sofitel New york, les
renseignements français et même l’Elysée !) c’est-à-dire un fait aussi
peu probable que très difficile à prouver ?«
Quelle généralisation hative ! Seuls deux »strauss-khanien« (Loncle et Sabban) se sont exprimés en faveur d’un complot. Tout le reste des »strauss-khaniens« et du PS a réfuté cette théorie d’un complot !
Question 9) ». L’appel téléphonique effectué par l’hôtel Sofitel New York à l’Elysée (et à la Maison Blanche !) dès l’arrestation de DSK....«
Je ne sais pas si quelqu’’un du Sofitel a appelé la Maison Blanche .
En revanche, ce que l’on nous dit, c’est que le Sofitel NY a appelé sa Direction à Paris et c’est ACCOR qui, alors, a contacté l’Elysée.
Mais ce qui est surprenant, cependant, c’est que Accor soit tombé à l’Elysée directement sur le Chef des Renseignements Intérieur (DCRI).
On ne savait pas, jusqu’alors, que celui-ci dormait à l’Elysée.
Normalement, c’est un »Permanencier« , membre du Cabinet du Président, qui est de garde pour le cas où.
Il est donc vrai que ce point-là est troublant, comme il est tout aussi troublant que la presse n’enquête pas sur cette présence incongrue d’un tel »flic" à l’Elysée à une telle heure de la nuit.
jf.