"La question principale se résume uniquement au comportement humain et à la faculté qu’a celui ci pour évoluer afin de s’adapter dans son écosystème tout en le préservant et ainsi se préserver lui-même.« 

 »Préserver l’environnement« ... Il est bon de noter que ceux qui comptent parmi ceux qui souffrent le plus des pires conditions de vie - les africains - parlent, eux, d’ »améliorer l’environnement« . Il serait bon de commencer prendre en compte ce qu’ils disent et réclament.

 »Mais là, ne rêvons pas, je continue à croire que sans une aide extérieure sous quelque forme que ce soit, la solution n’est plus humaine. Regardez autour de vous les dégâts écologiques qui sont fait et dont l’ampleur est chaque jour exponentielle. Ceux-ci sont dus à l’infantilisme et l’égoïsme de la race humaine et ce n’est pas prêt de prendre fin.« 

Euh... vous vous trompez de cible : vous amalgamez l’être humain avec le système financier qui en a corrompu pas mal, les rendant infantile et égoïstes. Vous prenez finalement les conséquences pour la cause.

 »Seule une terrible catastrophe de niveau mondiale pourrait éventuellement être l’électrochoc nécessaire au réveil et aux bouleversement des priorités matérielles actuelles. Dans ces cas là, apparaissent par la force des choses, les seules valeurs qui peuvent nous sauver : la solidarité, l’altruisme, le respect de la vie etc …."

C’est exactement ce qui s’est produit avec Fukushima : Slovaquie, Rwanda, Russie, Chine, Pologne, Vénézuela et des dizaines d’autres pays ont pris acte de l’arriération du système économique mondial, et ont tous à la fois lancé des programmes de construction de centrales nucléaire (y compris IVè génération, c’est pour cette raison que j’évoquais les HTR) et un programme international de prévision de tsunamis, tremblements de terre et tornades, afin d’être capable, avec plusieurs jours d’avance, de mettre les populations à l’abri.

Seuls les médias européens, à la botte des intérêts financiers, ont propagé via l’écologisme une peur panique complètement irrationnelle, afin d’accélérer le mouvement de réduction de la population mondiale à moins d’un milliard de personnes.