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Commentaire de voxagora

sur Affaire DSK : le « fiancé » et les fameuses conversations de la femme de chambre


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voxagora voxagora 15 juillet 2011 09:43

.

Je m’arrête à la phrase aucune preuve de violence physique,
parce qu’au delà des triturations fantasmatiques qui font le lit de cette affaire,
il y a de simples considérations pratiques qui, quand même, devraient compter :
les « preuves » de l’agression seraient des ecchymoses au vagin que, a clamé l’avocat de la plaignante
devant les caméras et les micros du monde entier (quand même),
DSK aurait causé « en lui empoignant le vagin ».
Il y a des choses, comme ça, qui, moi, m’empêchent d’aller plus loin parce que je veux comprendre.
J’en ai un, moi, de vagin. J’ai beau me triturer les méninges pour « voir » comment cela est possible, 
ne n’y arrive pas. Je veux un dessin d’empoignade de vagin par l’avocat de la plaignante. 


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