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Commentaire de mike gallantsay

sur Affaire DSK : le « fiancé » et les fameuses conversations de la femme de chambre


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mike gallantsay 15 juillet 2011 17:49

Bof... Moi, je n’étais pas à Dallas le 22 nov 1963, je ne trainais pas dans les couloirs du Reichstag dans la nuit du 27 au 28 février 1933 et pas davantage sur les bancs du Sénat romain le jour où, soi disant, un dénommée César, Jules de son prénom, aurait été assassiné... Et pourtant j’ai ma petite opinion sur ces trois affaires criminelles...

Et ne me répondez pas : livres d’Histoire ! Aucun historien, ni Suétone ni Tacite n’étaient présents non plus.
Et d’ailleurs, ont ils existé ? Je ne les connais pas personnellement ces types...

Comme disait Rimbaud : « Qu’est-ce qui me prouve que les romains ont vraiment existé ? N’est-ce point là une langue forgée ? »

Trêve de sarcasmes, depuis qu’il existe une justice criminelle, aucun juge ni aucun juré n’a jamais été témoin direct du forfait. Ce qui n’a jamais empêché qu’il y ait un jugement.
Parfois juste, parfois injuste, mais obtenu au vu et su de preuves indirectes, forcément indirectes.
Une histoire d’intime conviction.
Rajoutons que selon Stendhal, on peut se trouver sur le champ de bataille de Waterloo et ne rien comprendre de ce qui se passe !
Il n’y a que Dieu qui, parait-il, voit tout, connait tout, sait tout, partout et toujours.
Nous autres, pauvres mortels, on suppute, on s’interroge, on bricole...

Donc... N’est-ce pas...Je ne vois vraiment pas au nom de quoi, vous prétendez interdire à Imothep d’essayer d’y voir clair dans cette ténébreuse et sordide histoire.


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