>>" Vu la forte contamination de toute la chaine alimentaire au
Japon,il va falloir multiplier cette dose par 4, 10, voire bien plus."
C’est sorti du chapeau ? Combien de mSv ? Tant qu’il n’y aura pas d’évaluation rigoureuse et scientifique, vos discours sont basés sur du vent.
>>"Cette exposition interne est bien plus dangereuse, car concentree a
certains endroite bien precis, selon les elements. (tyroide, os,
poumons, ...) Or, meme si le corps n’aurait « »que« », disons 100mSv/an en
moyenne due uniquement a l’exposition interne, l’organe accumulant la
substance recoit une dose de plusieurs ordres de grandeur superieur.
D’ou la grande probabilite de cancer."
C’est exactement le rôle du Sievert de prendre en compte dans le calcul tout ce que vous dites. C’est déjà inclu dans les 2,9 µSv/h
>>"D’apres vous pourquoi la limite est elle de 20mSv pour les employes
des centrales et 1mSv pour le public ? [...]"
Rien à voir avec un complot. La limite est due au fait que les travailleurs sont suivis et leur état de santé est surveillé, ce qui, permet, de minimiser le risque éventuel que l’on peut suspecter (mais dont l’on ne sait strictement rien, pour les faibles doses). Surveillance impossible pour l’ensemble du public, d’où, par mesure de précaution, une limite fixée à la borne inférieure du bruit de fond naturel.
A ce que je sache, il n’y a aucun surcroît de cancer chez les travailleurs du nucléaires (modernes, je ne parle pas des pionniers), ni chez les pilotes d’avion, voire même chez les spationautes ; populations extrêmement suivies et surveillées. Cela dit, comme la question reste ouverte, vous pouvez peut-être me présenter des éléments probants ?