Le racisme est un terme totalement galvaudé et présenté de forme caricaturale et péremptoire, se limitant à présenter les hommes sous un aspect minimaliste en les dépeignant comme des bêtes sauvages, sans tenir compte d’un quelconque relativisme, dépouillés de conscience et d’étique.
A partir de là n’importe qui peut venir étaler sa petite théorie moraliste narcissique, dès lors que l’on a trouver les élément qui nous affranchissent de toute rigueur et honnêteté intellectuelle.
C’est beaucoup plus compliqué que cela, car en réalité le racisme est la valeur la plus partagée dans l’humanité telle qu’elle est, c’est à dire dans toute sa complexité et ses différences, car à partir de se postula on peut même faire des constructions péjoratives et désobligeantes vis à vis des indiens d’Amazonie qui n’accepteraient pas toute cette diversité ainsi que tout l’enrichissement qui va avec.
L’antiracisme est un concept creux, vide de sens, et qui n’est rien d’autre qu’une représentation psychologique subjective et souvent fausse, ne tenant pas compte et s’affranchissant de quelques notions sociaux-culturelle que ce soit.
Bref, l’antiracisme est un concept philosophique fumeux, que l’on peut décrire comme une forme de nilhilisme qui ne peut que conduire, dans le meilleur des cas à reproduire ce qu’il prétend combattre, et dans le pire des cas contient en lui même dans ses gènes de forme entropique les racines d’une nouvelle forme d’autoritarisme fasciste.