Bonjour,
Bien que je n’ai pas tout saisi, j’apprécie l’effort notable de corrélations statistiques.
Je pense qu’il est également nécessaire d’apporter du qualitatif à l’analyse. Ainsi, un fort taux d’imposition ne veut rien dire en soit si on ne le rattache pas à au moins 2 choses :
- Qui le paye, avec quelle répartition ?
- Qu’est ce qu’on en fait et pour quels résultats ?
Les pays nordiques ont une forte imposition globale mais utilisent énormément leurs impôts pour du concret.
Parallèlement un système de prélèvement proportionnel simple et exponentiel -qui n’existe pas à ma connaissance- et homogène bien sûr, permettrait non seulement de « lisser » les écarts et surtout d’être plus SIMPLE, donc non seulement moins éclaté mais surtout plus juste et homogène.
Il advient que la question ne soit pas de savoir si l’on paye trop d’impôts, mais réellement de savoir si la répartition de QUI paye ou pour en faire QUOI est acceptable.
En France, il semble que cela ne soit clairement pas le cas. Trop dépendent de l’argent public, la dette est trop importante et creusée, le clientèlisme et la deliquescence des institutions trop importantes pour croire au contraire.
Le jour où tu pourras produire un graph d’efficacité concrète de l’usage des deniers publics, tant est qu’il soit possible de les tracer, alors là on aura du lourd en argumentaire.